La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1074)
Datte: 12/08/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) -
Le Comte de Beusgley perdait toute contenance, devenu marionnette entre les lèvres de la chienne…
- Qui es-tu ?, demanda le Comte entre deux hocquets, co... co... comment fais-tu… ça ?
Pour toute réponse, j’accélérais mes mouvements de lèvres, de langue, refaisant perdre conscience au Comte, complètement essoufflé, ses mains battaient l’air, tentant de toucher mon visage… mes tétons… en vain. J’esquivais adroitement ses gestes mais je me rapprochais à nouveau ensuite pour le tenter à nouveau. Subtile jeu d’approche, jeu de langue, jeu d’aspiration, de succion, de tentations suivis de recul, savamment calculé… A chaque fois qu’il réussissait à surmonter ce que je lui faisais subir, je reprenais mes mouvements de salope peverse, je l’avoue, et à nouveau il s’abandonnait à mes gestes tentant lui aussi à nouveau ses gestes.
- Je te dresserai, toi, éructa-t-il au bord de l’apoplexie, tant il était rouge.
Je poursuivis mes léchages, mes pompages, mes pressions sur le gland, sur le frein, j’enfonçais brutalement son sexe jusqu’au fond de ma gorge, pour la remonter aussi vite, le recracher et avant qu’il ne dise quoique ce soit, la ravaler entièrement à nouveau. A ce petit jeu, Monsieur le Comte de Beusgley avait perdu toute superbe, sa respiration était devenue violente, ses doigts trahissaient par leurs mouvements désordonnés un état définitivement tendus vers un ...
... objectif et un seul : Ejaculer. Mais à chaque fois, je réussissais à bloquer son réflexe… Finalement, quand je l’eus décidé, et moi seule, par un mouvement combiné de ma langue autour de son prépuce, de mon palais aspirant son jus, par mes coups de tête ravageurs et cadencés sur sa bite devenue si raide qu’elle m’en faisait mal à la bouche, en quelques coups rageurs de ma part, je le fis éjaculer. Il lâcha son plaisir par un râle de mâle en rut mais je ne le laissais pas y goûter aussi longtemps qu’il l’aurait souhaité, stoppant volontairement toute activité buccale. Si je ne touchais pas son sexe de mes mains, je pouvais néanmoins palper ses couilles si peu vidées et ne m’en privais pas, relançant son ‘supplice jouissif’. Je les pressais, les palpais, les faisais rouler entre mes doigts, tandis que ma bouche avait abandonné un moment sa verge, qui battait l’air. J’étais déchaînée. Un instant, tentant de reprendre ma respiration, ma propre salive s’écoulant et me gênant, j’avais recraché la bite (et le peu de semence qu’il avait éjaculé) que j’avais reprise en bouche.
- Non !, exigea le Comte, continue !, salope
Alors je le repris en bouche, l’engoba entièrement et le pompai de toute la volupté dont j’étais capable, ses jambes remuaient en tous sens… ses bras faisaient des volutes, ses yeux révulsés semblaient me supplier de l’achever à nouveau. Ma bouche sur son sexe, mes yeux dans les siens, comme dans un « combat » de titans, mes mains sur ses couilles, la chèvre contre ...