1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1204)


    Datte: 12/08/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... ne vais pas t’offrir une seconde alliance. Cependant, je souhaite que tu portes à vie quatre anneaux. Au lieu de les porter à ton collier, je veux, sans te l’exiger, que tu te fasses percer les tétons et tes lèvres intimes et être ainsi annelée à vie, en signe de notre union D/s, en tant que Mari et femme, mais plus que tout en tant que Maître Absolu et Son esclave. Si tu refuses, il n’y aura aucune conséquence, tu en as le libre choix...
    
    Cette fois-ci, je fus bien trop émue pour pouvoir prononcer la moindre parole, alors j’inclinais avec véhémence la tête en signe d’acceptation et je tombais prosternée au sol pour Le remercier du magnifique cadeau qu’Il daignait ainsi me faire. Le Maître fit un signe en direction de l’assemblée, et un Dominant se leva et s’approcha. Walter lui amena un chariot sur lequel se trouvaient ses instruments encore emballés pour une meilleure hygiène. Il ouvrit un premier paquet et en sortie une couverture stérile sur laquelle il me fit m’allonger. Il me proposa une crème anesthésiante que je refusais, mon côté maso se réveillant et voulant ressentir tous les effets de ce que j’aurai à subir pour plaire au Maître à qui, par cet acte, je m’unissais définitivement. Le Noble s’installa à genoux près de moi et exigea que je fixe Son regard hypnotisant, afin de m’aider à supporter cette épreuve. Pour les quatre anneaux, le procédé fut le même. Il désinfecta chaque endroit qui devait être piercer, puis fit un point de couleur à chaque endroit que ...
    ... l’aiguille devrait percer.
    
    Avec une pince il serra tour à tour chaque téton et chaque grande lèvre vaginale afin d’une part de bien maintenir la chaire et d’autre part de guider l’aiguille. A chaque fois que cette dernière devait s’enfoncer, je sentais l’appréhension grandir en moi. Le Maître le sentit, et pour les quatre piqures, Il m’embrassa de telle sorte que j’en oubliais presque les bijoux qu’on était en train de me poser. A chaque fois je ressentis une douleur vive, plus sur mes lèvres que sur mes tétons, mais qui finalement ne dura que peu de temps par apport à ce que je m’imaginais. Quand ce premier moment fut passé, je ne pouvais plus vraiment appeler cela une douleur, plutôt de la gêne…. Le perceur nettoya et désinfecta de nouveau chaque zone, tout en m’indiquant les soins quotidiens que j’allais devoir pratiquer pour empêcher toute infection jusqu’à la complète cicatrisation qui pouvait durer jusqu’à un an. Ensuite le Maître m’aida à me relever avec précaution. J’étais donc debout devant Lui, mais je baissais la tête, émue, chancelante. Avec une infinie douceur dans la voix, Il proclama cependant fortement pour que toute la communauté l’entende :
    
    - Aujourd’hui je te reconnais comme la Marquise esclave, Ma femme, Mon épouse, Mon bien le plus précieux. Et je t’autorise aujourd’hui et pour toujours à m’appeler Seigneur et Maître !
    
    Je ne cherchai même plus à retenir mes larmes, elles coulaient abondamment ! Des larmes de bonheur intense, d’émotions pures et ...
«1...3456»