1. La voisine du troisième


    Datte: 11/08/2019, Catégories: Hardcore, Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... à première vue, pourvu de rayures très contrastées. La femme l’a contourné, s’est approchée de la fenêtre, a jeté un œil par les volets, puis s’est tournée vers moi.
    
    Elle a dit :
    
    « Ils n’ont pas l’air décidé à passer à l’action ce soir. »
    
    J’ai dit bêtement :
    
    « Ah bon ? »
    
    Puis elle est venue vers moi.
    
    Elle s’est arrêtée à moins d’un mètre et m’a dit :
    
    « Parlez à voix basse. J’aime bien que mon mari n’entende pas ce que je dis aux hommes qui me touchent. »
    
    « D’accord, ai-je répondu. »
    
    Puis on est resté là, à se regarder, sans vraiment se voir. Sa silhouette se découpait à contre-jour. Et alors je me suis rendu compte qu’en l’absence de lumière suffisante, elle n’avait plus vraiment d’âge déterminé. Je pouvais tout aussi bien me dire qu’elle avait 25 ans que 55.
    
    Au choix.
    
    Et tandis que j’écrasais mon mégot sur le plancher, elle a dit :
    
    « Je n’ai pas de culotte. »
    
    Dans ces moments-là, il ne faut pas se poser de question. Il ne faut pas regretter de ne pas avoir bu deux verres de whisky auparavant, histoire d’être un peu plus détendu. Il faut faire le vide dans sa tête et ne penser à rien d’autre. Rien ni personne. Il faut profiter de l’instant, car il y a de fortes chances pour qu’il ne se reproduise pas souvent dans votre vie.
    
    J’ai passé ma main sous sa jupe, doucement.
    
    Puis j’ai trouvé sa moule trempée.
    
    Je l’ai branlée, délicatement, tandis qu’elle faisait sauter les boutons de sa chemisette en soie qui était gris cendre. Elle ...
    ... avait de gros seins qui tombaient jusqu’au milieu de son ventre. Pas de soutif. Je les ai soupesés d’une main, pendant que l’autre continuait de la branler.
    
    Elle avait fermé les yeux et elle gémissait doucement.
    
    Elle m’a dit :
    
    « Qu’est-ce qu’elle attend, la petite chienne d’en face, pour se faire baiser comme l’autre soir ? »
    
    Un peu plus tard, j’ai fait glisser ma bite dans la chatte de cette femme. Nous avions enlevé tous nos vêtements. Avant de se coucher sur le dos, elle m’avait sucé la queue pendant un petit moment, puis il avait fallu que je la baise, tandis que son mari se trouvait dans la pièce à côté.
    
    Elle avait des tétons très tendres aux auréoles très larges, et ma bite ne s’épuisait pas de lui bourrer la chatte. Nos bouches ne sont pas entrées en contact une seule fois. Elle voulait juste que je la pénètre, sans capote. Elle voulait juste se faire sauter, à poil, non loin de son mari.
    
    Ça me convenait.
    
    J’y suis allé doucement, lentement. Ma bite était dure comme de la pierre et sa chatte trempée. Je serais incapable de dire pendant combien de temps on a baisé. Tout ce que je sais, c’est qu’à un moment donné, j’ai déchargé dans sa chatte, tout au fond. De grosses giclées brûlantes qui l’ont faite gémir et qui se sont mises à couler de ses lèvres comme de la salive.
    
    Quand nous avons regagné la pièce voisine, son mari était tout nu. Le front collé aux volets clos et les yeux vrillés à la fenêtre de ma voisine du dessus, il se branlait.
    
    Il a ...
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