1. La 1ère histoire (4)


    Datte: 11/08/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: letiche, Source: Xstory

    Nous sommes retournés à la voiture, je lui ai mis son manteau sur les épaules.
    
    Départ vers la maison, elle ne dit rien, reste silencieuse.
    
    — Tu vas bien, tu ne dis pas grand-chose Zora.
    
    — Je ne sais pas si je peux parler.
    
    — Bien sûr, Zora, il faut que nous parlions de cette sortie.
    
    — D’accord, mais peut-on en parler à la maison.
    
    — Oui, mais alors le jeu continue jusqu’au moment où nous serons rentrés.
    
    — Oui, monsieur.
    
    — Bien alors écarte tes cuisses et caresse-toi.
    
    — Mais...
    
    — Zora, branle-toi !
    
    — Oui monsieur.
    
    Tout en roulant, je jette de temps à autre un coup d’œil, je vois son doigt s’agiter sur son bouton. Elle le glisse dans sa fente et se fait plaisir. Elle aime se faire plaisir.
    
    Lorsque je passe à hauteur d’un camion, je ralentis, permettant au chauffeur de mater. Sans plus, car j’ai hâte de rentrer pour profiter moi aussi de sa bouche, ventre et pourquoi pas de sa rondelle. J’ai une forte envie de lui lécher l’oignon, après ce qu’elle a subi.
    
    J’entends qu’elle va jouir, je le sens.
    
    — Zora, arrête de te branler, maintenant.
    
    — Non, s’il te plait.
    
    Clac, une gifle à la volée.
    
    — Chienne, obéis et parle correctement.
    
    — Oui, monsieur.
    
    Nous arrivons, je gare la voiture sur le parking à l’arrière de la propriété.
    
    — Monsieur, je dois pisser, on peut vite rentrer.
    
    — Oui, je te mets ta laisse et nous rentrons, mais une chienne fait ses besoins dehors.
    
    Je la sors du véhicule et l’amène vers la pelouse.
    
    — ...
    ... Allez, fais tes besoins Zora.
    
    — Pas ici, on pourrait me voir.
    
    Nouvelle gifle.
    
    -Zora, tu fais ici compris.
    
    — Oui monsieur.
    
    Elle se baisse, écarte sa culotte et soulage sa vessie dans la pelouse.
    
    — Bien Zora, gentille chienne.
    
    Nous rentrons la maison, tout au plus une centaine de mètres, elle n’est pas à l’aise, je le sens.
    
    Voilà, on est à la maison, nous n’avons rencontré personne, elle est soulagée.
    
    Je pensais la punir, mais comme la journée s’est bien passée, je décide de mettre fin au jeu pour ce jour.
    
    Je lui retire son collier et enlève le peu de vêtements qu’elle porte.
    
    Nous montons nous doucher et faisons l’amour de manière la plus classique, tout en douceur.
    
    Pendant la semaine, nous avons parlé de cette journée.
    
    — Tu as aimé être traitée et utilisée comme une chienne.
    
    — Oui, c’était excitant, par contre je n’ai pas aimé que tu m’obliges à uriner dans la pelouse.
    
    — Et dans le bois, qu’as-tu apprécié ou pas ?
    
    — J’ai aimé être regardée et utilisée. Je n’ai pas trop apprécié d’avoir des doigts autres que les tiens dans mon cul. Par contre, ce que le type qui me doigtait disait m’excitait au plus haut point.
    
    J’ai joui très fort, j’ai senti mon ventre s’ouvrir comme jamais. L’impression de pouvoir prendre l’entièreté de sa main à l’intérieur. J’aurais aimé avoir un sexe dans le ventre à ce moment-là.
    
    — Bien et le fait de leur dire que tu suçais jusqu’au bout et avalais tout.
    
    — Agréable, ils ne se sentaient plus, je l’ai vu ...
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