1. Mûres47/le spa des bourgeoises-putes1


    Datte: 11/08/2019, Catégories: Mature, Auteur: langauchat, Source: xHamster

    La jeune femme brune au longs cheveux noirs n'exprime aucune expression lorsque, couchée sur le flanc, elle branlotte mon gland avec de petits gestes lents.
    
    C'est une pute. Elle fait son travail, sans chercher à masquer son indifférence.
    
    Au 3ème étage de la vieille maison, elle avait du entendre craquer l'escalier de bois sous mes pas, et baîller d'ennui à l'idée de recommencer à se faire enfiler par un inconnu qui va souffler comme un boeuf en expurgeant sa semence.
    
    Ma semence, j'ai effectivement envie de la lui envoyer puissamment dans la chatte dès qu'elle ouvre la porte.
    
    j'aime son austérité. Elle pourrait être une pharmacienne, une psychologue, n'importe quoi sauf une pute.
    
    Et pourtant...pour une petite somme, je vais la sonder de toute la longueur de mon engin.
    
    tout est silencieux dans son studio. Pas de musique débile en toile de fond. Elle ne parle que pour dire l'essentiel. D'origine slovaque, elle ne veut pas se fatiguer à parler pour ne rien dire dans une langue étrangère.
    
    De toute façon, il n'y a pas besoin de faire un discours à un type qui vient se vider les couilles.
    
    Je suis couché, nu sur le lit, et j'attends qu'elle revienne.
    
    La voilà qui revient, grande, fière...pas tout à fait nue. Elle a gardé des bas noirs qui lui montent jusqu'à mi-cuisses.
    
    et la voilà qui me branle, sans vigueur, avec ennui. Son regard blasé fixe ma tige.
    
    immédiatement, je frémis sous ses doigts. L'atmosphère lourde, solennelle, silencieuse semble se ...
    ... concentrer sur ce travail qui s'accomplit pour mon sexe. Elle travaille à mon érection.
    
    A aucun moment, la longue chevelure brune ne viendra coiffer mon sexe comme un saule pleureur, comme c'est toujours le cas lorsque les filles se penchent pour sucer. Non, elle est minimaliste, celle-ci. Elle branle, ça durcit, alors elle se couche sur le dos, relève un peu les jambes comme chez un gynécologue, et attend la saillie.
    
    Avec délice, je m'apprête à la foutre. La queue bien arquée se pointe à l'entrée de cette vulve soignée, distinguée, ornée d'un triangle de poils bien taillés.
    
    De la foufoune cinq étoiles, bordel, c'est juste un peu humide, bien serré. Pas trop humide non plus, elle n'est pas inondée de lubrifiant. Il me faut une bonne dizaine d'aller-et-retours pour faire ma place dans la fente offerte. Je pousse délicieusement.
    
    Elle n'en a rien à foutre de se faire foutre. Je soupire d'aise en découvrant la texture vivante et légèrement pulsante de ce fourreau vaginal qui m'accueille progressivement. La progression m'excite et me confirme les premières impressions de jouissance.
    
    Elle était bonne dès la première introduction, elle continue de me faire jouir lorsque je me mets à la limer tranquillement.
    
    Je dis tranquillement, parce que je ne veux pas juter trop vite. J'adore ces moments où je sais que la jouissance est inéluctable, et ne demande aucun effort. Il y a des vagins de putes sans saveur si j'ose dire, sans expression, et qui n'apportent de plaisir que ...
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