Tatie Solange 3
Datte: 11/08/2019,
Catégories:
Mature,
Hardcore,
Auteur: Fulvia41, Source: xHamster
Tatie Solange III
Douloureuse séparation :
Le soleil pointait timidement à l’horizon lorsque toute la famille se trouva réunie dans la cour de la ferme pour des adieux pleins d’émotions. Un long parcours attendait Guillaume, Nicole et leur fils Jérémy, avant d’atteindre Cap-Breton. Là-bas Solange, la sœur jumelle de Guillaume les attendait….
Guillaume et Solange avaient hérité de leurs parents de la demeure familiale ; une spacieuse maison bourgeoise du dix-neuvième siècle, au centre d’un vaste parc. Après son mariage avec Nicole, Guillaume avait désiré créer son restaurant. Mais pour cela, il lui fallait investir une forte somme. Aussi, il avait vendu ses parts d’héritage à sa sœur. Celle-ci, très proche de son jumeau, accueillait toute la famille chaque année au mois d’août pour leurs vacances. Une façon pour Guillaume de se ressourcer en revenant sur les lieux de son enfance.
Serrés l’un contre l’autre, Maurice et Louise assistaient au départ de leurs enfants avec une émotion non feinte, des larmes embuant même les yeux de Louise. Elle savait que cette séparation marquait la fin d’une merveilleuse période. Jamais elle ne retrouverait ces voluptueux instants que lui avait fait connaître Jérémy. Au fil des années, ce dernier redeviendrait son petit-fils aimant. Même, si elle en était certaine, le jeune homme qu’il allait devenir garderait toujours le souvenir des sensuels moments passés avec sa chère mamie.
Côte à côte, Maurice étreignant son épouse par la ...
... taille regarda s’éloigner la voiture qui amenait loin d’eux cet adolescent qui avait embelli leur vie pendant un mois. Ce n’est que lorsque les feux arrière de la « 607 Peugeot » disparurent au loin, qu’ils se décidèrent de rentrer à la ferme. Encore émue par ce départ, Louise maintenue par la taille par son mari se laissa presque traîner jusqu’à l’intérieur du bâtiment en pierre de taille. Arrivés à la cuisine, les bols encore sur la table, lui rappelant que toute la famille avait pris leurs derniers petits déjeunés ensemble quelques minutes auparavant, Louise s’abandonna à la détresse qui l’accablait. Se blottissant contre la poitrine de Maurice, les bras lui encerclant le cou, elle ne put retenir ses sanglots.
D’abord surpris par la réaction de son épouse, Maurice tenta maladroitement de la consoler en la pressant contre son torse et lui caressant tendrement le dos.
— Là… Ce n’est rien, murmura-t-il… Tu savais bien qu’il devait partir à la fin du mois…
Incapable de se raisonner, sanglotant sans retenue, le visage baigné de larmes, Louise, demanda dans un gémissement exacerbé :
— Serre-moi fort contre toi !
A deux doigts de partager le chagrin de son épouse, Maurice pressa plus fort le corps secoué par les sanglots dans un geste plein d’affection. Ils restèrent ainsi une bonne dizaine de minutes, serrés l’un contre l’autre, se consolant mutuellement par de simples attouchements et quelques paroles réconfortantes. Comme une chaise se trouvait près d’eux, Maurice ...