1. Un jeudi qui change tout


    Datte: 11/08/2019, Catégories: fh, fbi, couple, hféminisé, Transexuels Oral 69, pénétratio, hdanus, portrait, Auteur: CmaPlume, Source: Revebebe

    À cette époque, je vivais avec Elodie depuis environ cinq ans, j’avais 31 ans et Elodie 33. Nous nous étions connus sur les bancs de la fac où nous avions quelques UV en commun. Je suivais un cursus commerce, alors qu’elle étudiait le marketing. Nous avions alors sympathisé sans jamais devenir vraiment proches, puis, nous nous étions perdus de vue une fois nos diplômes obtenus.
    
    Nous nous sommes retrouvés quelques années plus tard alors que je venais présenter un nouveau produit dans la société dans laquelle elle était devenue directrice des achats. Cette fois, après plusieurs rendez-vous et soirées passées ensemble, il était devenu évident pour nous que nous étions faits l’un pour l’autre, et après quelques mois nous finîmes par vivre ensemble dans son grand appartement de Hyères, puis enfin nous nous mariâmes. Nous ne pouvions pas avoir d’enfants, et ne faisions pas le projet d’en adopter.
    
    Elodie est une fille plutôt grande, précisément 1,75 m (Elodie adore la précision), pas vraiment fine avec ses 65 kg, et avec des cheveux châtain clair tout bouclés et mi-longs, des grand yeux verts et gris malicieux. Plutôt sportive, elle se rendait deux fois par semaine à son club de natation, et participait parfois à des compétitions, mais elle n’avait jamais véritablement brillé dans la discipline. Par contre la natation avait bien modelé et musclé son corps, et je ne l’avais jamais connue qu’avec cette silhouette pas véritablement très féminine avec ses épaules de nageuse, ...
    ... toutefois le reste de son corps restait relativement fin, mais sa taille très peu marquée.
    
    Cela ne l’empêchait pas d’être plutôt coquette, et elle avait surtout un goût marqué pour les dessous fins en dentelle et en satin et les escarpins à talon hauts. Dans ses tiroirs on pouvait trouver aussi bien des strings, que des tangas, ou des shortys, toute la déclinaison des petites culottes dans toutes les matières et couleurs, bien qu’elle appréciât particulièrement le noir. Elle avait aussi quelques guêpières, et des bodys. Elodie possédait même un petit corset, pour les rares fois où elle voulait vraiment marquer sa taille (ce qui se résumait à la fête de fin d’année de sa société en fait) taille qui ordinairement était plutôt droite comme celle d’un homme. Mesurant déjà une belle taille, elle n’abusait pas des talons hauts en ma compagnie, une femme plus grande que son homme ce n’est pas si courant et on nous en faisait souvent la remarque.
    
    Quant à moi, si Elodie avait une silhouette de nageur, c’était plutôt le contraire. Mon petit mètre 65, pour mes 56 kilos, me rangeaient dans la catégorie poids plume de la gent masculine. Elodie aimait mes traits fins et mon quasi manque de pilosité, sur ce point je ressemblais à mon père qui lui aussi était imberbe, sûrement à cause son ascendance indienne. Nous ne formions pas un couple vraiment standard c’est le moins que l’on puisse dire, mais nous étions heureux et notre vie sans heurts ni histoires.
    
    Début juin, Elodie devait aller ...
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