Promenons nous nues dans les bois (4)
Datte: 11/08/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: leaflavy69, Source: Xstory
Remise en contexte : Je suis sur mes genoux, en sous-vêtement, la nuit, en plein milieu d’un sentier de sable et j’attends un homme que je ne connais pas pour me faire soumettre. Je suis une vraie salope ! Sur cette pensée, deux mains surgissent de l’arrière, saisissent mon cou et le serrent à m’en faire voir des étoiles.
— Bonsoir petite chienne ! Je suis content de te voir.
— Bonsoir Monsieur, dis-je péniblement le souffle coupé par ses mains.
— Main dans le dos ! Maintenant !
Rapidement, mes mains furent attachées dans mon dos. Mon inconnu me place la face dans le sable, mais m’ordonne de maintenir mon cul levé. J’obéis. Je sens un morceau de métal passer sur ma cuisse puis sans prévenir, mon string est coupé. Sans même comprendre qu’est-ce qui se passe, je sens un liquide couler entre mes fesses.
— Serre un peu les dents !
Sans autre avis, un jouet force mon anus et s’engouffre rapidement. Un cri de surprise et douleur rompt le silence de la nuit. Quelle sensation étrange !
— Hum !! Pour un petit cul vierge, tu viens de prendre un plug de 20 centimètres comme si de rien n’était. J’ai déjà hâte d’y plonger ma queue.
Je ne parvenais pas à bouger ou parler. La sensation était trop forte ! Mon souffle était coupé. L’homme me saisit les cheveux, me releva légèrement la tête pour placer un pénis en plastique devant ma bouche avant de pousser à nouveau ma tête vers le sol. Sans autre choix, j’ouvris la bouche et me retrouvais avec ce faux pénis ...
... profondément dans ma bouche.
J’entends quelques flashs d’appareil photo et le rire de mon amant, visiblement satisfait de ses clichés avant de le sentir se déplacer derrière moi. Il était à genoux derrière moi. La pénétration arrivait. Je gémissais d’envie. Son gland n’eut même pas le temps de toucher mes lèvres, qu’il avait déjà donné un puissant coup de reins. Un puissant cri de ma part brisa à nouveau le silence.
La pénétration était violente. Chaque coup me faisait gémir et crier de plus en plus fort. Il n’y allait pas de main morte. Par moments, il appuyait sur ma tête simplement pour m’entendre m’étouffer avec le pénis en plastique. Il était sadique. J’adorais ça. Après plusieurs minutes à me faire baiser en levrette, il s’est retiré. Épuisée, je m’effondre au sol. Complètement étendue sur le sol de sable et de roche, mon homme tire, sans avertissement sur le plug pour le retirer. Une nouvelle fois, je crie avec force. Il coupe les liens qui retenaient mes mains.
— Si tu en as eu assez, tu peux partir, sinon retire le dildo de ta bouche, mets-le dans ton vagin et viens asseoir ton cul sur mon sexe.
Comme une bonne soumise obéissante, je place mon jouet dans mon vagin qui était déjà complètement ouvert. J’approche mon amant qui est étendu au sol, attendant que je m’empale sur lui. Je place mes genoux de chaque côté de lui et plonge mon regard dans les yeux de l’homme. Je vois son désir et son agressivité. Je descends tranquillement, son gland appuie sur ma rondelle, ...