1. L'aimant 2


    Datte: 11/08/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Rollerbi, Source: Hds

    ... cul aussi beau, aussi bon et aussi profond !
    
    Pendant je ne sais combien de temps, sa langue, telle une petite bite gluante de salive, plonge inlassablement dans mon anus, joue avec mon sphincter devenu hyperlaxe tandis que sa main masse mes couilles pendantes.
    
    — Mets-la moi ! Viens, s'il te plaît. Donne-moi ta grosse queue magique !
    
    Instantanément, cette sensation indéfinissable s’empare de moi. Son gland, en me pénétrant d’une lente poussée continue, agit sur moi comme le piston d’une seringue. Ivre de désir, la moindre poussée m’administre un puissant aphrodisiaque. Mon cul, rendu glissant par sa salive, reçoit ses longs et lents mouvements. J’en hurle mon plaisir et perds complètement la notion du temps. Emmanuel finit par venir me recouvrir sur la table et joue avec mes terminaisons nerveuses pendant une douce éternité.
    
    — Ooooooh Max, j’adore te prendre, je resterais des heures en toi à te donner du plaisir. murmure-t-il à mon oreille d’une voix sensuelle.
    
    Mes fesses remontent vers son pubis pour qu’il puisse mieux m’investir et je me contracte dès qu’il recule. Il accélère parfois, faisant retomber ses lourdes bourses sur les miennes, m’arrachant quelques cris de plaisirs, puis reprend ses longues courses. Ma main serre fort la sienne et je ne cesse de lui répéter tout le plaisir qu’il me donne.
    
    — Tu vas jouir avec moi, dit ? l’implorais-je. Tu vas me remplir de ton amour ?
    
    — Pas tout de suite, Max. J’aime trop te faire jouir.
    
    — Aime-moi encore ! ...
    ... Ouiiii ! Ooooh, ta queue en moi... c’est si bon ! Comment... comment tu fait... pour m’en donner autant ?
    
    — Tu aimes ? répète-t-il en mordillant mon épaule, sa verge plongeant toujours aussi régulièrement jusque dans mon ventre. Tu vas encore jouir ?
    
    — Je jouis... déjà !
    
    Son bras passe alors sous mon ventre, remontant encore plus ma croupe à sa rencontre. Ses mouvements s’intensifient et dispensent soudain de brutales ondes de plaisir. Mon souffle devient court et mes pensées s’embrument. Depuis l’intérieur de mon bassin, je ressens comme un mélange de pression et de chaleur, un incendie qui remonte le long de ma colonne vertébrale. Emmanuel vient de me faire jouir une nouvelle fois.
    
    Presque inconscient, la tête dans du coton, c’est à peine si je sens mon amant ralentir la cadence. Seul mon anus semble encore pouvoir réagir, puisqu’il se contracte encore quelques fois en de multiples spasmes, comme pour emprisonner sa verge.
    
    Seuls ses baisers et ses caresses me parviennent, le reste de mon corps semble anesthésié. Il est complètement immobile et se contente de promener ses doigts sur mon flan. Aucun son, aucune gêne ne viennent parasiter la magie de l’instant. Comme en apesanteur, j’ai l’impression de flotter quelque part entre deux états, aux limites de l’inconscience. Il me faut un long moment pour refaire surface et pouvoir réordonner mes pensées.
    
    — Tu es un Dieu, Emmanuel. Un vrai étalon !
    
    — J’adoooooore te prendre, c’est tout !
    
    — Tu vas me tuer à ...
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