L'aimant 2
Datte: 11/08/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Rollerbi, Source: Hds
... en haut tandis que j’astique sa hampe en suçant son nœud de plus en plus vite. Lorsque son bassin part en avant, c’est pour expulser un énorme jet en criant son bonheur. Mes lèvres en ventouse, j’accélère ma masturbation et reçois un second jet qui vient à son tour remplir ma bouche. Comme son goût sucré se répand sur mes papilles, je déglutis pour accueillir une nouvelle salve. Son sperme est vraiment doux, légèrement crémeux, et m’englue la bouche comme j’aime avant de glisser vers mon estomac. Son ventre se tend à chaque giclée et de ses mains puissantes, il veille à ce que sa queue ne quitte pas mes lèvres, comme pour ne rien me faire perdre.
Il n’en finit plus de déverser ses chaudes rasades au fond de ma bouche, m’offrant une terrible éjaculation. Puis ses fesses finissent par se reposer sur le canapé, son orgasme l’a terrassé. En quelques minutes, son gland devient moins volumineux, je le prends entièrement en bouche, le cajole avec beaucoup de tendresse et l’y garde encore un long moment. Son nœud moelleux glisse sous ma langue et je me délecte des dernières gouttes de sa semence. Une douche chaleur partant de mon ventre parcourt mon être, assis à même le sol, nu, la tête posée sur les cuisses d’Emmanuel, le goût de son sperme en bouche, je ne peux me sentir mieux. Le temps s’est arrêté, la nuit nous enveloppe et... il nous reste deux jours pour nous aimer.
Lorsqu’il bascule l’interrupteur, j’en profite pour attraper mes clopes. Il m’invite à la fumer à ...
... l’intérieur, argumentant qu’il ne peut rien me refuser, surtout pas “la clope après la pipe” ! Nous restons ainsi à nous câliner, libre de tout préjugé, encore sidérés par la puissance de nos ébats. Nous en concluons que toutes ces émotions valaient bien un verre de vin blanc, la douche attendra.
Avant de décider d’un menu, nous restons un long moment sous la douche à nous savonner avec sensualité. Insatiables, au moindre contact de nos corps, nous démarrons au quart de tour. Comme tout nouveau couple, il n’y a qu’une chose qui nous intéresse : baiser et faire l’amour. À partir de ce concept, rien de bien étonnant au fait que, malgré l’étroitesse de la douche, je me retrouve face au carrelage pendant qu’il m’encule tendrement un long moment. Je me surprends encore à jouir sans pour autant éjaculer, juste à le sentir immense en moi — et il l’est, immense !—, lorsque ses coups de bassin soulèvent mes pieds et qu’il me murmure à l’oreille qu’il adore ma croupe et qu’il va me faire crier ainsi tout le week-end.. Et sur ce micro-orgasme qu’il me mord l’oreille en me disant qu’il compte encore me faire plaisir... après manger.
Petit repas en terminant la bouteille de vin blanc, assis sur les tabourets de bar, à parler de sexe. Moi, c’est son endurance qui m’interpelle, son contrôle semble total. Il l’explique par la grosseur de son gland qui, à force de frotter, est devenu moins sensible. Quant à lui, visiblement, ma tolérance à le recevoir suscite sa curiosité. Viennent alors les ...