L'aimant 2
Datte: 11/08/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Rollerbi, Source: Hds
... truc.
C’est au sommet d’une colline plutôt escarpée, gravit à la force du piston via un sentier muletier, qu’il m’a offert mon digestif préféré. D’en haut, la vue est à couper le souffle et l’on voit à des kilomètres à la ronde. Difficile de nous isoler davantage ! Assis dans l’herbe contre un rocher, nous savourons le calme autant que le panorama. Sa main sur ma cuisse, il me confit venir parfois ici lorsqu’il a le blues et qu’il est heureux de partager “son coin” avec moi.
Mes doigts se perdent dans ses cheveux bruns et je me sens complètement fondre ; l’homme, son charisme, l’endroit.... Que nos lèvres se rapprochent est en quelque sorte une obligation ! Jamais un homme n’a suscité autant d’intérêt et de désir en moi. Sans que nos langues se séparent, ma main glisse sous sa chemise et remonte vers sa poitrine pour exciter la pointe de ses seins. Lui, plus polisson, ouvre habilement mon pantalon pour plonger sa main sur mes fesses qu’il palpe d’une façon explicite.
— J’ai très envie de toi... lui dis-je, enflammé.
— Autant que moi ? demande-t-il en posant un doigt sur mon anus à sec.
Sans que ses doigts ne cessent de m’exciter, je dégrafe son pantalon pour accéder à mon dessert. Sa grosse queue dans ma main ferme, je déguste son nœud prenant rapidement de l’embonpoint, heureux de retrouver mon jouet préféré. Ma langue s’enroule autour son vit. Pendant ce temps, mon pantalon glisse et mes fesses sont écartelées, offertes aux rayons du soleil, devenant ...
... précipitamment l’objet de sa convoitise. Ses doigts reviennent m’humecter de salive, mais je reste persuadé qu’il entrerait en moi sans la moindre lubrification.
Je vire chaussures et falzar en le regardant baisser le sien. Je reviens lui faire face en le chevauchant. Pendant qu’il m’écarte les fesses, je dépose un peu de ma salive sur mon anus et guide sa queue brûlante. Quelle exquise sensation que de sentir le gland d’une queue désirée s’écraser contre sa petite porte. La chaleur de ce membre qui se transfert à cette zone si sensible, à cet instant, juste avant “l’attaque”. Puis soudain, en une poussée, les chairs qui se distendent lorsque ce pieu se déforme est impressionnant. Puis son nœud s’engage en glissant. C’est à cet instant qu’il faut pousser très fort pour l’accueillir, comme le fourreau d’un vérin, sans heurt, emportant tout sur son passage : le temps, la réserve, la crainte...
Nos yeux s’affrontent, nous nous observons en souriant. De langoureux coups de bassin m’empalent sur son solide mât. Ses seins roulent entre mes pouces et ses couilles échouent contre ma croupe offerte. Les premières bouffées de chaleur colorent probablement mes joues alors qu’il serre fort mes fesses dans ses mains.
— Oooooooh... que tu m’encules bien ! dis-je dans un souffle.
Sa queue frotte tout le long de mon rectum et Emmanuel me gratifie à chaque fois du petit coup de reins en fin de course, m’enfonçant bien son champignon au fond de mon rectum. Son organe est absolument parfait ...