1. Une vengeance plus que perverse


    Datte: 10/08/2019, Catégories: Hardcore, Voyeur / Exhib / Nudisme Partouze / Groupe Auteur: Bea-Trixie, Source: xHamster

    ... quoi ce bordel, ici ? Non mais... on est fermé !!! Oh putain... Papa vient voir, c'est la petite salope blonde, qui vient nous voir... »
    
    D'un bond, malgré sa corpulence il sauta les trois dernières marches et se retrouva à côté de moi, son père le vieux fermier dévalait les escaliers à son tour.
    
    « Ah oui... j'avais oublié de te prévenir, Trixie m'a passé une commande, elle vient la chercher. Voila, vos légumes sont prêts dans cette caisse là. »
    
    Un coup de vent fit s'ouvrir ma jupe légère, écartant les pans.
    
    « Oh Putain, dit Ludo, elle est à poil dessous... Je crois que pour le paiement de la facture... on va se régaler !
    
    - Oui... surtout que cette fois la note est salée ! Et aujourd'hui nous avons le temps... Ludo, amène la par ici »
    
    Le gros obéit à son père, et me planta devant lui, Le vieux fermier commença à me déboutonner le chemisier, mes deux seins, soutenus par un léger demi soutien gorge noir, seins nus, jaillirent lorsqu'il écarta les pans. Il commençait à transpirer d'excitation. Il baissa la fermeture éclair de sa salopette et sortit son sexe qui était presque aussi gros, mais moins long que celui de mon copain Gérald.
    
    « Oh putain, Ludo, mate un peu le soutard...rien que ça, ça me fait bander... »
    
    D'un geste brusque il ôta mon chemisier, et avait rabattu le chemisier sur mes bras ce qui les bloquai. La bataille m'avait érigé les mamelons et ils dardaient au dessus des bonnets de dentelles noires.
    
    « Ludo, tiens lui bien les bras pour ne ...
    ... pas qu'elle gigote trop ! J'ai vu que d'après mes premières expériences, elle ne détestait pas être prise brutalement... »
    
    Celui-ci, derrière moi ôta complètement le chemisier et me rabattit les bras dans le dos, ce qui eut pour effet de faire encore plus saillir mes deux globes fermes et mes petits cônes bruns tendus.
    
    Les deux mains moites et calleuses du vieux se posèrent sur mes seins et commencèrent à les pétrir. Il le faisait sans ménagement, puis il prit mes tétons entre le pouce et l'index et commença à les faire rouler entre ses doigts. Il y planta ses ongles, mes mamelons malgré eux commençaient sous la douleur à se gorger de sang et s'ériger de plus en plus, puis il les tira. J'adorais que l'on triture mes mamelons. Je remuais mon torse, cela semblait exciter encore plus l'homme de voir le tressautement de mes seins.
    
    Sa bouche vint se plaquer sur un de mes tétons, et il commença à le mordiller. Mon esprit ne pouvait plus contrôler, je ne faisais plus semblant, mes mamelons répondaient à ce qu'ils subissaient, mes aréoles étaient pi graillées de chair de poule, le fermier s'en aperçu, car il se mit à les aspirer à tour de rôle avec avidité.
    
    « Regarde fiston, t'as vu on dirait qu'elle apprécie, ses tétons ont grandi d'au moins trois centimètres !
    
    - Oui, oui mords les, pince les, putain c'est bon !! lui criais-je... »
    
    Ayant dit cela, il plaqua sa bouche sur le mienne, j'eus un hoquet de dégoût. Son haleine était fétide, sentant le tabac et le vin, mais ...
«12...91011...16»