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Léa et la vasque d'eau fraîche
Datte: 10/08/2019, Catégories: fh, extracon, inconnu, bain, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, Auteur: Philcoquin61, Source: Revebebe
... notre paradis. Nous nous séparons et nous rhabillons sans hâte avec de complices regards. Je calme les chiens et nous laissons notre île à deux pêcheurs qui viennent sans doute taquiner la truite. Les chiens les ont tenus à distance, mais peut-être ont-ils profité du spectacle depuis le petit promontoire sur le chemin qui conduit ici. Nous les saluons en quittant l’île sous leurs regards bien concupiscents. Main dans la main, nous nous sourions, complices, coquins. Je raccompagne Léa jusqu’à sa voiture ; le sentier est étroit, et je me régale de la voir évoluer dans sa petite robe blanche, devinant la dentelle de sa petite culotte en transparence sous le tissu tendu sur ses fesses. Quand nous arrivons sur le petit parking, Léa se retourne et se moque de mon désir qui déforme mon shorty. C’est vrai que ce n’est pas discret, mais à qui la faute, si tant est qu’il s’agisse d’une faute ? Un petit coup d’œil aux alentours : pas de bruit dans le chemin rocailleux, personne à l’horizon. Je laisse tomber mon sac à terre et m’empare des hanches de ma belle penchée dans le coffre de sa voiture qu’elle vient d’ouvrir. Léa s’immobilise mais ne réagit pas quand je retrousse sa petite robe. Son derrière enveloppé de dentelle est irrésistible ; je me contente d’écarter le tissu de côté pour y glisser ma tige dardée. Léa m’accueille avec un gémissement de bonheur, les mains en appui sur le bord du coffre, les reins cambrés, un appel à une chevauchée sauvage. Je prends quelques ...
... instants pour savourer cette vision sublime que celle de mon désir qui va-et-vient avec lenteur au cœur de sa fleur encadrée par ses fesses délicieuses. Léa creuse les reins encore plus et projette son derrière à ma rencontre ; ma tige est luisante de son humide attente. Je comprends à son mouvement qu’elle réclame un assaut plus sauvage. J’accélère mes mouvements ; mon ventre claque contre ses fesses à chaque aller-retour. Les râles de ma belle m’indiquent qu’elle ne résistera pas longtemps à ma danse endiablée. Je la sens qui s’envole vers le nirvana ; je m’immobilise au fond de sa fleur quand je la sens au bord de se pâmer. Nous restons quelques instants immobiles. Les chiens grognent à nouveau en direction du sentier par lequel nous sommes arrivés. Sans doute les pêcheurs, qui aujourd’hui se sont adonnés à une pêche différente de celle à la mouche ! Je range mon membre dans mon shorty et réajuste la petite culotte de ma belle. Léa reprend ses esprits, et prenant conscience de l’heure tardive elle s’excuse de devoir me quitter. Je lui explique rapidement comment elle peut se rendre à mon chalet en rondins et lui propose de nous y retrouver le lendemain. Elle me sourit mais ne me promet rien. Nous ne savons presque rien l’un de l’autre, et pourtant nous venons de faire l’amour comme de fougueux amants. Léa referme la portière de sa voiture, la robe ouverte sur ses jambes affolantes. Un petit signe de la main et la voilà qui disparaît dans un nuage de poussière. Je ...