De l'influence de mon gynéco sur mes rêves érotiques - Histoires de Sexe

De l'influence de mon gynéco sur mes rêves érotiques

... Certaines participent à des soirées libertines… vous voyez ce que je veux dire. Je le sais car elles veulent que je les suive particulièrement pour les risques encourus. Excusez-moi encore.
— Ce n’est rien, Docteur. J’aime mon mari. Pourquoi irais-je voir ailleurs ?
— Par les temps qui courent, aimer faire l’amour et rester fidèle, c’est plus rare que vous ne le pensez.
— Être fidèle à l’homme qu’on aime n’est pas une contrainte, Docteur, surtout que je ne suis pas en manque : mon mari ne pense qu’à me sauter. Pourvu que ça dure !
— Pour cela, mettez-le à la diète.
— ?
— Une femme doit se faire désirer, ajoute le docteur en souriant.

Tandis que je médite sur son conseil, il positionne une ordonnance sur son imprimante.

— Une dernière question, Madame : pratiquez-vous la sodomie ?
— Oui, Docteur, de temps en temps. C’est le gros fantasme de mon mari. Pas facile de ce côté-là, pour grimper au plafond. Enfin, en ce qui me concerne.
— Pas de problème, de douleur particulière ?
— Non. Tout se passe très bien.
— Faites attention. L’anus est bien plus fragile que le vagin.
— Docteur, j’ai une question à vous poser, mais je n’ose pas.
— Je vous en prie.
— J’ai très peur d’être déchirée lors de mon accouchement. Si je prends l’habitude de me masturber de temps en temps avec un énorme gode, aurai-je moins de risques ? Pourquoi souriez-vous ? Ma question est stupide ?
— Ne craignez rien. Si votre bébé est très gros et peine à passer, en dernier ressort je vous ferai ...

... une petite épisiotomie : vous ne serez pas déchirée. Le seul conseil que je puisse vous donner, c’est d’arrêter provisoirement vos exercices. Les femmes très musclées peinent souvent à accoucher. Ceci dit, prenez du plaisir autant que vous voulez avec un gros gode ; je n’y vois aucun inconvénient, mais trouvez-vous une autre raison.

Je pique un fard tandis que l’imprimante crache son ordonnance avec une batterie d’analyses à effectuer. Il la signe et me regarde.

— Pour votre grossesse, tout va bien. Pour votre prochaine visite, je vais programmer une première échographie. Voyons mon agenda… Ah, oui, je serai en congé : je pars en voyage une quinzaine de jours. Vous aurez affaire à mon remplaçant, un jeune garçon qui vient d’avoir son diplôme. Cela ne vous gêne pas ?

Catastrophe ! Un jeune de mon âge ! J’ai failli jouir avec cet homme qui pourrait être mon père ; alors, avec un jeune qui – c’est sûr – va en profiter pour m’examiner à fond…

— Euh… Non, Docteur.
— Partez rassurée ; je vous promets que je ferai tout mon possible pour vous accoucher en personne.
— Merci, Docteur.

—ooOoo—

Six heures du matin… En plein rêve érotique. Un jeune gynéco séduisant au possible et ressemblant à Brad Pitt comme deux gouttes d’eau, après une palpation mammaire apparentée à un pelotage en règle, m’installe sur une table gynécologique qui ressemble à un instrument de torture puisqu’il m’y attache les jambes et les bras. Appuyant sur une télécommande, mes cuisses s’écartent ...