1. BEAUTE CACHEE...


    Datte: 09/08/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... fille n’avait pas vraiment l’air surprise de la voir partir sa mère. Elle attendait un bon moment avant de couper la télévision.
    
    - Elle te la demandait ?
    
    - Oui…
    
    - Tu n’es pas obligé, me dit-elle alors. Si tu n’en as pas envie, tu peux encore t’en aller. Il n’y a pas de problème, je ne t’en voudrai pas.
    
    - Quand je promets quelque chose chez moi, je l’exécute.
    
    Elle se leva, me prit par la main et m’entraîna doucement dans sa chambre. Devant la porte une idée me venait.
    
    - Cela te dérange si je vais faire une petite toilette.
    
    - Pas du tout. La salle de bains se trouve au bout du couloir la porte à droite. Je t’attends dans mon lit.
    
    Une fois enfermé dans la salle de bains, je cherchais le panier de linge sale. Très vite je repérais ce que j’étais venue chercher. Une culotte de Ginette. Un parfum capiteux s’en dégager. Ma drogue, mon Popper à moi. Et ce soir j’en avais un grand besoin.
    
    À mon retour dans la chambre, la pièce était plongeait dans une obscurité la plus totale. Ce qui m’arranger bien soit dit en passant. Tout de suite je sentais une main me farfouillant à la hauteur de mon sexe. La main s’enhardissait, faisait glisser la fermeture de ma braguette et s’introduisait dans l’ouverture. D’une main elle me caressa les couilles, les soupesa. Comme je ne protestais pas, et pourquoi l’aurais-je fais, elle caressait le sexe. Je portais la culotte à Ginette à mes narines, alors que plus bas, Dalida me soutira pantalon et slip. Elle se saisit de mes ...
    ... couilles, les soupesait de nouveau. Je sentais qu’elle était une experte en la matière tant sa palpation était agréable. Fière du résultat, Dalida encercla mon gland avec son pouce et son index comme pour en apprécier sa dureté. Puis me branla. De temps en temps, un doigt me caressait le frein. La coquine s’avait y faire. Le précepte qui disait que les plus défavorisé par la beauté étaient à même de faire plus jouir un homme était fondé là, dans cette chambre. Et elle y mettait tout son cœur…
    
    Me prenant dans sa bouche. Elle pompait en connaisseuse. Sans trop saliver, elle serra ma hampe avec ses lèvres, donnant quelques coups de langue sur le frein. Malaxant avec avidité mes bourses. C’était sublime. Du grand art…
    
    Sa langue cherchait qu’à me faire du bien. Je fus étonné de l’appétit avec lequel elle me dévorait.
    
    Elle devait être très langue pour me faire tant de bien. Elle se fit ensuite ventouse, en aspirant ma queue. Il y avait chez elle une vraie frénésie sur le sexe, savant ce qu’elle cherchait. Son empressement eut raison sur mon excitation. Et je jutais dans sa bouche. Mon grognement de satisfaction coupait le silence de la pièce. Jamais jusqu’alors, je n’avais été pompait avec autant d’envie.
    
    Elle ne me laissa le temps de récupérer que déjà elle me suppliait de la doigter. Sans forcer, tant elle ruisselait de désir, mon majeur glissa le long de la fente sexuelle béante, et s’enfonça entièrement dans une profondeur moite et velouté. J’explorais avec curiosité la ...