1. La bourgeoise et le marabout (50)


    Datte: 09/08/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... s’il s’agissait simplement d’un sexe toy fixé dans le mur de la pièce, je continue à savourer la queue black qui occupe toute ma bouche. Même si la situation est excitante, même si c’est bon se sucer une queue dont on ne connaît nullement le propriétaire, je suis un peu frustrée de ne pas pouvoir lui caresser les cuisses et lui malaxer les bourses. Heureusement, sous mes coups de langue, mes succions appliquées et mes gorges profondes, je sens que l’inconnu se colle tout contre la paroi pour mieux me pénétrer la bouche et se vider dans ma gorge. Avant que le gland ne disparaisse, je le tète bien pour en extraire les dernières gouttes et je l’aspire à fond pour bien vider cet inconnu. Une fois mes lèvres essuyées du dos de la main, je quitte la pièce et je vais retrouver François qui m’attendait à l’extérieur en se faisant également sucer par une bouche inconnue.
    
    Mon mari m’entraîne au sous-sol où il y a une immense piste de danse simplement éclairée par quelques appliques fixées aux murs et qui répandent une douce lumière rouge tamisée. Des enceintes, suspendues aux quatre coins de la pièce, diffusent une musique douce ; des slows langoureux propices aux étreintes sensuelles. Avec François, nous nous installons dans un canapé pour savourer notre boisson, un verre de whisky pour mon mari et une coupe de champagne pour moi. Il y a très peu de femmes dans la salle et les deux qui sont en train de danser sont entourées d’une nuée d’hommes. François me dit
    
    - Tu devrais ...
    ... aller danser, je te regarde d’ici.
    
    Alors que je me lève, il me ajoute
    
    - Mais interdiction de te faire baiser sur la piste de danse ou sur un canapé. Je t’ai réservée autre chose !
    
    A peine suis-je au milieu de la piste que deux hommes se rapprochent de moi, un devant et un derrière. Au début, ils restent à une certaine distance de moi mais, bien vite, ils sont collés à mon corps. La distance entre nous trois devient encore plus faible, voire inexistante, lorsque la bouche de celui qui me face se colle à la mienne et lorsque le bas-ventre de celui qui est derrière se plaque tout contre mes fesses. La situation ne fait qu’empirer lorsque les quatre mains commencent à me caresser tout le corps. Je m’abandonne car je suis certaine que c’est ce que souhaite François. Embrassée dans le cou, sur les lèvres et sur la nuque, je ne suis qu’un jouet pour ces deux mâles dont l’excitation grandissante se mesure à la grosseur et à la rigidité des deux queues qui cognent contre mon pubis et mes fesses.
    
    Lorsque la musique change, j’en profite pour échapper aux hommes en rut et me dirige vers François. Avant que je me rasseye près de lui, mon mari se lève, me prend par la main et m’entraîne vers un petit couloir un peu sombre. De chaque côté du couloir sont disposés de petits salons fermés d’une simple tenture en velours rouge. Derrière le tissu, on entend de longs gémissements féminins et le souffle bestial des mâles. Au bout du couloir, il y a une pièce avec une grande cage au milieu ...