1. Valérie - Fin de soirée au bureau


    Datte: 08/08/2019, Catégories: Épouses affectueuses, Auteur: byFrenchCasanova, Source: Literotica

    ... son amant lui retira le chemisier moite. Dans la pénombre, sa poitrine luisait de leurs péripéties sauvages. Sans pushup bra, sans arquer le dos, le buste de Valérie resplendit, mais il était encore caché derrière le soutif de soie. Agilement, Leroy le dégrafa et la dernière pièce de tissu vola au loin. Désormais nue, il n'y avait que le directeur qui gardait son décorum : sa ceinture bloquait la chute de ses pantalons.
    
    -J'ai envi de toi.
    
    Il ne lui en fallait pas plus pour descendre jusqu'à ses seins. Il les choya de baisers et de pincettes. Valérie maintenait les joues douces et la langue curieuse de son amant contre son buste providentiel. Cambrée, son corps resplendissait dans le bureau vitré de M. Leroy. Les derniers éclairages s'estompèrent automatiquement sur tout l'étage. Enfin seuls. La rouquine ne se gênait plus pour exprimer ses désirs et ses sentiments. Le patron continua son manège entre les contreforts circulaires de la fiancée de son employé. Drus, les tétons rougeoyants de Valérie étaient consommés pour une millième fois. C'est alors que Franck souleva sa maitresse surprise d'être ainsi emportée.
    
    - Tu es encore vigoureux Franck!
    
    - J'escaladerais l'Éverest pour aller de chercher. Tu vaux tous les soucis du monde.
    
    Scellant la discussion en lui apposant ses lèvres, il s'engagea de nouveau dans sa chérie une fois rendue au vitrage. Il sentait contre son corps ses douces jambes solidement l'agrippées. Adossée à la cité, Valérie, l'excitée, souhaitait ...
    ... autre chose.
    
    - Prends-moi par derrière. J'ai toujours voulu faire l'amour nue àa la fenêtre d'un gratte-ciel.
    
    Ainsi retournée, Valérie eut toute la ville sous ses yeux. Cette étrange anonymat. À plusieurs étages en contrebas, les fourmis retournaient à la maison. La queue de Francis Leroy pavoisait tout près de sa rosette. Quelques fenêtres plus loin, son copain travaillait encore, insoucieux. Leroy se lustrait la trique contre la fente de la déesse, de son employé, à la chevelure cuivrée.
    
    - Tu es la première que je baise avec la ville comme décors.
    
    - Arrête de me balancer des conneries.
    
    - Rares ont été les femmes à avoir pu bénéficier de mes talents ici même contre cette vitre!
    
    - Il y a plusieurs secrétaires qui sont passées par ton bureau.
    
    - C'est vrai, mais c'était juste là, à côté.
    
    - T'es con, t'es vraiment gonflé!
    
    Et à bloc! Il ne se reposa pas davantage et embrocha sa compagne nocturne. Fendue jusqu'au nombril, la jeune adulte repris ses sens en s'agrippant au cadre des fenêtres. L'infiltration avait été drastique, c'est comme si elle oubliait à chaque fois à qui elle avait affaire. La batte s'investissait en elle tel un Edge fund. Aucun soucis à se faire, le gestionnaire aguerri allait débiter tout obstacle au grand bonheur de la louve.
    
    Son cul retroussé, il le tint fermement par sa poigne de fer pour donner le rythme et la cadence hâtive de leur baise. Par pur réflexe, elle avait distancé ses jambes élancées l'une de l'autre pour mieux se ...
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