L'âge ne joue aucun rôle - Histoires de Sexe

L'âge ne joue aucun rôle

20 ans plus tard Magda nous a réuni en souvenir de nos 30 ans, à l'époque de nos "folies sexuelles". Elle voulait savoir ce que nous avions fait pendant toutes ces années et si nos "turpitudes" avaient eu une influence sur nos vies. Magda fut la première à se confier : 
"Moi, j'ai continué sur cette lancée. J'ai tellement aimé que je me suis inscrite sur un site "Rencontres d'un soir" et je me suis régalé. J'en ai pris des bites, dans ma gueule, dans ma chatte, dans mon cul, des kilomètres de bites. J'aimais bien les petits vieux salauds avec leurs queues qui sentent la pisse, avec leur désespoir de ne plus pouvoir bander comme avant, alors pour les consoler je me foutais à poil, leur montre ma chatte, les lèvres pulpeuses de mon vagin et bien sûr mon œillet brun trempé de désir. Mais ma récompense était les attouchements de ces vicelards je me suis fait fister, j'ai pris des godes dans le cul et un des plus pervers finissait toujours par me prendre sur les genoux et me donnait une bonne fessée en m'insultant de "méchante fille","sale garce", "pute " etc. Ce dernier, un certain Albert, arrivait à bander(mou)  et je le finissais avec ma bouche et j'avalais le peu de foutre qu'il avait en réserve.  Voilà ...

... ma vie de salope !"
Après c'est Eulalie qui a raconté ses aventures. 
"J'ai eu moins de chance que toi. J'ai rencontré un charmant garçon que j'ai épousé. Très gentil et attentionné mais un nullard au pieu. Il ne pratiquait que le missionnaire. J'ai bien essayé de le chauffer pour lui donner des idées mais rien à faire. Quand je me masturbais devant lui ou que je godais l'anus devant lui, il me disait que c'était des manières de putain ou que Dieu interdisait les sodomies. Alors j'en ai eu marre, j'ai divorcé et aujourd'hui je gagne ma vie en posant pour une boîte qui vend des dessous féminins chics par correspondance. Et là j'ai fait des rencontres avec les gars du plateau de prises de vue autrement plus entreprenants que mon ex. Aujourd'hui je connais tous les bons queutards et je ne me prive pas de les utiliser, d'ailleurs j'ai donné rendez-vous à trois d'entre eux pour me faire sauter !"
Véronique n'a pas voulu trop en parler mais elle nous a avoué qu'elle était devenue lesbienne et que elle passait des nuits torrides avec ses partenaires. 
Elle nous a promis de tout nous raconter  et nous voulons aussi entendre les récits des deux garçons qui faisaient partie de notre groupe de l'époque. 
À suivre