Mon petit harem - Histoires de Sexe

Mon petit harem

Autour de moi gravitent qui, sans avoir jamais rien demandé, sont prêtes à exaucer tous mes désirs. Ma sœur Alice et sa copine Patricia, une voisine, Malissa, une beurette délurée et même ma mère Solange. Et ce qui ne gâche rien leurs appas sont complémentaires : Alice a une poitrine arrogante, Patricia de belles fesses callypiges, Malissa de jolies jambes fuselees et Solange une moule poilue (ce que j'adore). A la maison, toutes quatre sont en lingerie fine et sexy. Elles savent qu'un de mes plaisirs favoris est de les regarder se gouiner entre elles et comme les quatre amatrices aussi bien des plaisirs saphiques que de belles queues à sucer ou à prendre dans la chatte et/ou dans le cul. Quel homme comblée en voyant ma mère Solange et ma sœur Alice se gnougnouter la vulve et cette viciéuse de Solange en profiter pour titiller de sa langue l'œillet brun de sa fille. Et dire que ce sont ma mère et ma sœur qui se donnent en spectacle devant moi. Et que dire des deux autres salopes, Virginie et Deborah, Deborah qui fiste Virginie avec son poignet au fond du vagin et une Virginie en transe. Alice remarque alors : ...

... "Tu sais que ta mère a la chatte qui pue! Soit elle a pète pendant que je lui bouffait le con, soit elle a fait pipi avant!" En fait Alice veux me faire réagir pour que j'aille constater de visu son affirmation. De spectateur je devenais acteur pour le plus grand bonheur de mon œillet. Malissa, voyant le puits de mes reins à sa portée, met un gode-ceinture autour de sa taille pour me prendre par derrière. Obligeamment je facilite l'intrusion de ce sexe factice dans mon conduit anal et je le sens se frayer un chemin dans mes entrailles avant que Malissa ne débute un va-et-vient endiablé dans mes fesses accueillantes. Solange en fait de même avec Alice qui se fait sodomiser avec des soupirs de contentement. Deborah et Véronique suivent notre exemple. Nous voilà trois encules, Alice, Véronique et moi avec trois enculeuses, Solange, Deborah et Malissa. Tous les six ont aimé ce moment de détente mais je rumine ma revanche, c'est moi qui vais toutes leur tringler l'œillet. Avec ma queue puissante  et pour finir, elles devront me présenter leur visage pour que mon jus de couilles très abondant leur salisse la gueule