Convalescence
Datte: 07/08/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
vacances,
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
Auteur: Xavier2, Source: Revebebe
... Merci. Même si j’ai rarement eu des reproches de ce côté là, c’est très agréable à entendre.
Pierre s’était trompé en disant qu’elle "aimait la bite". Ou n’avait pas encore compris, à l’époque où il avait prononcé ces mots. Céline aimait les hommes, entièrement, jusqu’au bout. Elle suçait mieux que Claire. Je ne sais pas pourquoi, j’en étais heureux. Comme s’il m’avait fallu cette révélation pour me débarrasser de ma colère envers ma femme. Le plaisir physique a d’étranges vertus. Je lui avais pardonné. En revanche, j’en voulais encore à Pierre, juste un peu…
Alors, au moment où Céline a voulu se lever pour se rhabiller, je l’ai retenue, en me couchant sur elle et lui écartant ses bras. J’ai mis mon visage dans son cou, et je lui ai fait un long suçon. Elle a compris, a essayé de se débattre, mais je la tenais bien, de tout mon poids. Quand j’ai redressé la tête, elle portait à la base du cou une marque bien rouge. Qui allait bientôt tourner au violet si j’avais bonne mémoire des années de ma jeunesse, puis au noir, et ne pas s’effacer avant une semaine.
Elle a filé dans la salle de bains pour inspecter les dégâts. Puis est revenue, l’air un peu désemparé :
— Pourquoi as-tu fait ça ? Ce n’était pas nécessaire. De toute manière, je l’aurais dit à Pierre, tu sais…
— Une envie subite, comme toi quand tu m’as fait du pied sous la table.
Ce n’était pas très noble. C’était comme au rugby : quand un adversaire vous fait mal sur un plaquage, la fois suivante, quand ...
... la situation est inverse, vous mettez le genou, pour lui faire encore plus mal. Je n’avais rien contre Céline, au contraire. Mais je voulais la marquer, presque la dévaluer aux yeux de Pierre, pour bien lui montrer que j’avais baisé sa femme, plus encore qu’il n’avait baisé Claire. J’ai rendu à Céline le slip qu’elle avait volontairement oublié la première nuit. C’était fini. Nous avions fait ce que nous devions faire, tout ce que nous devions faire.
Je l’ai revue deux heures plus tard, en allant chercher mes fils chez elle. Le regard noir que m’a jeté sa sœur en ouvrant la porte m’a amusé. Celui de Céline m’est allé droit au cœur. Il signifiait que nous nous étions fait beaucoup de bien, parce que nous en avions besoin. Elle avait remis son jeans et ses ballerines, mais portait un foulard autour du cou.
Ce foulard qui, pendant une semaine, obligerait Pierre à penser à moi, chaque fois qu’il verrait sa femme.
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J’ai retrouvé Claire le lendemain soir à Paris, après avoir traversé la France avec mes fils qui dormaient sur la banquette arrière. J’ai conduit lentement, pour une fois. Je crois que ces heures au volant m’étaient nécessaires. Je laissais Céline derrière moi. Très symboliquement, car elle regagnait Paris le jour suivant en avion. Et je roulais vers Claire. Je rentrais chez moi, à tous les sens du terme. Je l’ai trouvée belle, désirable. Nous avons fait l’amour gravement, intensément. Je voulais chasser Pierre de son corps, la reconquérir. Elle ? Je ne ...