1. Le Mâle dominant et toute sa famille. 2/4


    Datte: 07/08/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds

    Le Mâle dominant et toute sa famille. 2/4
    
    - Tu as une belle queue, fière et trapue, avec un énorme gland, je ne sais pas de qui tu tiens ça. J’ai envie de ton engin !
    
    Il glisse une de ses mains en dessous du mandrin pour empaumer les couilles lourdes et prometteuses. Il les pétrit dans sa main.
    
    Je n’ai encore jamais assisté à une fellation donnée à un homme par un autre homme, c’est beau et encore plus quand le pénitent vénère comme une offrande le don que lui donne son neveu. Pierre ouvre la bouche et prend entre ses lèvres le gland turgescent de mon cousin, le lèche, le titille avant de constater :
    
    - Tes couilles sont bien trop pleines, Il va falloir que je te les vide !
    
    Suite :
    
    Il commence à prendre l’engin dans sa bouche, à aller et venir autour de ce gland et de cette hampe que maman et moi connaissons si bien. Sa langue virevolte autour de la queue. Pierre tente de l’engloutir entièrement, ne laissant que quelques centimètres libres comme surpris de ne pas pouvoir y arriver mais en même temps flatté de ne pas pouvoir.
    
    Il entreprend alors, comme fasciné par la bite chaude une fellation digne d’une prostituée jusqu’à ce que la lance de Claude durcisse et grossisse plus si c’était humainement possible tout en triturant inlassablement les couilles dures sans que sa bouche ne cesse son travail.
    
    Claude abdique enfin et lance dans un râle :
    
    - Arrête Pierre ! Je n’y tiens plus ! Je vais partir….
    
    ¬- Laisse-toi faire! Vide-toi dans ma bouche ! Lui ...
    ... rétorque Pierre, abandonnant quelques secondes la teub. Je veux connaître le goût de ton suc, que tu te vides sur ma langue !
    
    Claude, comme dans un état second, met ses mains sur la nuque de Pierre et l’attire à lui, le visage collé sur son bas-ventre.
    
    Mon beau-père ne peut qu'avaler précipitamment les geysers impétueux de son neveu, le sperme épais et gluant, jaillissant par saccades très rapprochées du méat entrouvert, lui frappant violemment la glotte en un flot abondant avant de s’écouler dans sa gorge à chaque déglutissement, respirant difficilement par le nez.
    
    La source est tarie et le membre s’apaise en perdant un peu de sa rigidité avant que Claude ne relâche la pression sur le crâne de Pierre qui s'empresse de recracher la verge à peine dégonflée pour finir d'avaler les derniers reliquats de sperme qui lui obstruent encore les bronches :
    
    -Putain! C’était encore plus copieux que l’autre jour ! S'exclame-t-il… Faut être costaud pour tout avaler mais il était hors de question que je perde une seule goutte de ta liqueur !
    
    Mon cousin tourne la tête vers maman et lui ordonne :
    
    - A ton tour Audrey ! Viens sucer ton neveu préféré !
    
    Elle s’agenouille face à lui, prenant la place de son mari et frotte la bite contre sa bouche qu’elle ouvre le plus grand possible et gobe le gland légèrement fripé. Elle tète le cèpe flétrit, en lèche le pourtour, s’attardant sur le frein. Le miracle recommence et tel un champignon poussant à vue d’œil, le monstre de chair ...
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