L'ascenseur
Datte: 07/08/2019,
Catégories:
fh,
inconnu,
fépilée,
ascenseur,
ffontaine,
Oral
fdanus,
Auteur: Cixi, Source: Revebebe
... !Pourquoi diantre ai-je ce journal en main. Il m’embarrasse. Je pourrais sinon, par inadvertance, lui effleurer le bassin, les hanches, le haut de la cuisse, la naissance de ses fesses.Oui, oui, il fait chaud… Mais on est bientôt arrivé au rez-de-chaussée. Elle va sortir. Et moi, je vais continuer au sous-sol prendre ma voiture… Ça y est. On est arrivé. La dame chargée de ses sacs sort la première. Les autres la suivent. Et elle ? Elle sort pas ? Zut. Si. Dommage !
— Au revoir Monsieur.
— Au revoir !
Oh ! Ce cul moulé dans son jean’s. Digne de ses seins. Aussi attirant, aussi appétissant !
Les portes commencent à se fermer. Tant pis pour ma voiture. Je ne suis pas pressé ce matin. Je me glisse vite entre elles et manque buter contre celle qui me met en rut.
— Oh ! Excusez-moi ! Je n’avais pas réalisé qu’on était arrivé en bas ! Perdu dans mes rêves.
— Oh ! Y’a pas de mal.
— Je vous offre un café ? Vous êtes pressée ?
Pourvu qu’elle dise oui. Pourvu qu’elle ne m’envoie pas c… J’ai gaffé ! Je sens que j’ai gaffé !
Part 3 (moi) :
Ouf, ça y est, le rez-de-chaussée, je vais pouvoir me décoller de lui. Je souris. En me décalant un peu pour sortir, j’ai senti sur ma hanche, je l’ai sentie !IL BANDE ! Et pas qu’un peu, le démon. J’en ai eu des fourmis dans les mains de me retenir de mettre ma main en coupe sur ce renflement, juste pour sentir la palpitation de cette érection. Je la devine presque dans ma main, la caressant d’une façon douce et ferme à la ...
... fois, la serrant un peu pour en apprécier le diamètre, et l’imaginer me pénétrant…
Les portes s’ouvrent.
Je sens que cette excitation va m’entraîner dans des choses, mmmh…
Allez, allez, qu’elle les vire ses sacs que je puisse fuir cette divine excitation qui m’envahit les seins, le bas-ventre, les hanches, les flancs…Suivra, suivra pas, apparemment non, il n’a pas l’air de bouger.
Je prends une grande inspiration en franchissant les portes, quand on me bouscule.
— Oh ! Excusez-moi ! Je n’avais pas réalisé qu’on était arrivé en bas ! Perdu dans mes rêves.
— Y’a pas de mal.
— Je vous offre un café ? Vous êtes pressée ?
Han ouui, il a osé… « qui ne tente rien, n’a rien », j’apprécie.
Je regarde machinalement l’heure sur mon portable et le jette dans mon sac.
— Oui, super pressée, une prochaine fois peut-être ?
Pas le temps de papoter, dommage quand même et je le plante là devant l’ascenseur en tournant les talons rapidement, trop rapidement, vraiment trop rapidement sur le sol que je n’avais pas vu fraîchement lessivé…
Mon talon a ripé et je me retrouve, je ne sais comment, face à lui à genoux dans le hall de l’immeuble.
Je devrais être pétrifiée de honte pourtant je ne peux détacher mes yeux, ni des siens qui sont en train de parcourir ma poitrine, vu le décolleté sans fond que je lui offre, ni du renflement que j’ai à présent à hauteur des yeux.
— Je vais vous aider à vous relever
J’attrape le bras qu’il me tend et me redresse.
— ...