Un mois sous le soleil Chapitre III
Datte: 22/06/2024,
Catégories:
Lesbienne
Vos histoires
Auteur: Iris_Nexus, Source: Histoires-de-Sexe.club
... du bungalow. Ne les perds pas. C’est chiant après de les refaire. Le vieux Will s’énerve vite quand on ne prend pas soin du camp. Tu as aussi un nécessaire de toilette. Si tu as besoin de quoi que ce soit, l’accueil te fournira d’autres produits. Normalement, c’est payant, mais vu que tu es la VIP, toi, c’est gratis alors profite.
- Qui es-tu ? Et pourquoi tu es là ? Je ne veux voir personne.
- Et merde, la nouvelle va me faire une crise. Je m’appelle Opale. Vu le temps que je passe à la Cornière, on peut dire que je vis ici ? Et à ton avis. Je suis venu pour t’arracher ce que tu as et abuser de toi. Ouuuh !
Elle ponctue sa phrase en m’attrapant les épaules et en me secouant gentiment. Le contact de ses mains sur moi me donne un frisson de malaise.
- Non sérieusement, je t’amène juste quelques affaires. Tu crois qu’on est des psychopathes ici ?
- Je n’ai pas dit ça. Juste je n’aime pas ce mode de vie qu’on veut m’imposer. Je refuse.
- Tu refuses quoi, réplique-t-elle. Bon d’accord ça peut être gênant au début quand tu n’es pas habituée, mais qu’est-ce qu’on s’en fou.
- Mais c’est mon corps putain ! Opale, je ne veux pas qu’on voie mon corps.
- Et pourquoi ? Tu as une anomalie ?
Elle éclate de rire.
- Non, c’est juste privée. N’importe qui n’est pas censé le voir. Et encore moins d’en abuser.
- C’est privé ? Arrête pas à moi. On a le même âge et je sais qu’avec les hormones en feu, on pourrait ouvrir les cuisses pour le premier mec qu’on trouve ...
... séduisant.
- Je ne suis pas comme ça. Et puis les mecs, ce n'est pas vraiment mon truc.
- Ah, je vois que tu picores autre part. Bref on s’en fou, c’est la même. Tu crois que je ne sais pas ce que tu caches sous ton vieux drap ? Une paire de seins, petits vu ton gabarit, et entre tes jambes un jouet de plaisir. J’ai juste ?
- Ce n’est pas la question. Je refuse de me montrer à n’importe qui comme une délurée.
Je vois Opale s’empourprer.
- Eh oh la nouvelle. Je te rappelle que moi, je porte que dalle et tout le monde peut y jeter un œil. Est-ce que tu me traites de délurée ?
- Non, pardon Opale. Ce n’est pas ce que je voulais dire je…
Je m’embrouille dans mes explications et mon paréo de travers glisse doucement contre ma peau dévoilant le haut de ma poitrine. Opale se jette sur l’occasion.
- Attention la miss, tu commences à te dévoiler.
Je tente de remettre maladroitement le tout, mais je m’emmêle très vite. Opale rigole en me regardant et sans honte attrape le tissu pour m’aider à bien le remettre. Elle reprend avec son ton désinvolte.
- De toutes façons qu’est-ce que tu veux me cacher ? D’abord, je t’ai vu à la fenêtre. Et crois moi qu’on les voyait tous tes seins. D’ailleurs, tu aurais pu me répondre au lieu de refermer le rideau comme une folle.
- Je n’avais pas conscience d’être nue. On m’avait droguée.
- Drogué ? Tout de suite les grands mots. C’est qu’un calmant détend toi. Et justement à ton avis qui c’est qui a dû tout t’enlever pendant ton ...