Jeux coquins - Histoires de Sexe

Jeux coquins

Avec ma sœur Anais, nous avons découvert les plaisirs sexuels ensemble, d'abord en jouant à touche-pipi. Puis avec des vidéos qui sont censées nous apprendre à faire l'amour. Ca à donné plein d'idées tordues et perverses à Anais. Elle se met sur la lunette des WC, cuisses ouvertes pour que je voie son abricot bien mur, puis elle descend mon string (que j'ai dérobé dans son dressoir), branle un peu ma bistouquette pour la faire durcir, la prend en bouche et commence des va-et-vient de pompage. Pas évident pour Anais a cause de  ma toute petite verge mais comme j'ai du mal à gicler, Anais me demande de lui pisser sur ses nichons et dans sa gueule de salope. Mes jets de pisse sur ses dessous font que son soutien pigeonnant fait apparaître ses aréoles  et que sa guêpière est si trempée que son clitoris se darde  à travers sa culotte. Anais est tellement chaude qu'elle me demande de lècher les parties de son corps que je viens d'arroser. Ce que je fais avec diligence. J'ai la joie de les déguster et de me régaler des effluves intimes de Anais. D'abord ses nichons en poire que je me plais ...

... à mordiller, puis le creux de son nombril empli d'une flaque de mon urine avant de descendre plus bas pour dégager le pistil fleuri de son minou. Anais apprecie mais les tortillements de son bassin sont un appel à un anulingus appuyé. J'ouvre ses cuisses et j'admire le trou étoile de son œillet que je m'empresse de gâter de ma langue. 
Anais s'occupe aussi de ma chatte anale. Elle y introduit un spéculum pour dilater au maximum mon conduit anal. Dans lequel elle fait pénétrer des boules de geisha. En voyant Anais se harnacher d'un gode-ceinture, je comprends pourquoi elle a distendu l'ouverture de mes reins : elle veut me baiser le cul tout en activant à distance le petites boules vibrantes. Le gode factice et la vibration des boules ont l'effet escompté : non seulement je jouis du cul mais aussi je mouille de la chatte anale comme une chatte en chaleur. Un fois satisfaite, Anais decule et me rappelle que vers 16 h, ses copines viennent prendre le café et que je suis censé être à leur disposition pour les servir, que je devrai leur obéir et répondre à toutes leurs sollicitations !