1. La salle de repos


    Datte: 15/04/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Vos histoires Auteur: Didisalope, Source: Histoires-de-Sexe.club


    Depuis que je suis l'assistant de l'infirmière en chef, je vis des expériences insolites. J'ai d'abord persuadé ma chef qu'il était préférable que je porte une blouse d'infirmière et non pas l'uniforme disgracieux des infirmiers. J'ai aussi constaté qu'il régnait dans ce service une liberté totale sans tabou. Ainsi j'ai surpris le responsable en train de baiser Astrid, une collègue pas très farouche. Ce qui est encore plus surprenant, c'est que ce même responsable portait des dessous de femmes. J'ai alors mené ma petite enquête et j'ai découvert que le médecin en chef avait une préférence pour les hommes et que les travesties en lingerie sont ses "proies" de prédilection. Depuis lors je mets chaque jour ma lingerie de luxe et j'essaie d'attirer l'attention du médecin dans l'espoir.
    Deux semaines plus tard, mon désir est exaucé. Je dois me rendre dans son bureau et le docteur m'annonce qu'il doit faire un examen de santé de chaque employé de son département. J'hésite avant de me lancer, je prends mon courage à deux mains tout en espérant une réaction positive de sa part. Alors le docteur découvre que son patientest une travestie aux goûts de luxe : un soutien-gorge pigeonnant de la marque Intissimi et il constate que je suis excite par la situation car les pointes de mes seins sont dressées (un appel au massage de mes nichons), je porte une gaine-corset faisant guêpière serre-taille de couleur vert et noir,  de la marque Victoria Street. 
    "Elle a le goût du luxe, la petite ...
    ... tapette !"
    "Pardon docteur, je ne suis pas une tapette, je suis une salope soumise accro à la bite !"
    Une baffe aller-retour et aussitôt : "Ta gueule poufiasse. A genoux ! Suce ma bite ! Et écarte tes cuisses ! Montre-moi ton œillet ! Je suis sûr que tu mouilles du cul comme une chienne en rut ! Fais-moi durcir pour que je t'encule!"
    Je me mets à genoux, je décalotte sa verge déjà raidi, je donne de légers baisers sur son prépuce violacé mais de nouveau le docteur me fout une baffe, me prend par les cheveux et enfonce son gros braquemard dans ma gueule : "Pas de chichis! Avale mon zob en entier et pompe-moi le noeud en gorge profonde !" J'aime cette façon dominatrice de m'imposer une turlutte. Je lui obéis, enfourne sa queue jusqu'au fond de ma luette (presque au bord de la nausée). Après quelques va-et-vient appuyés, la bite du docteur frétille dans ma bouche et un premier jet de foutre vient inonder ma langue suivi d'autres jets tout aussi abondants, je suis étonné par la puissance du docteur et de la ŕeserve de jus de couilles emmagasinee dans ses bourses. Soudain des applaudissements retentissent. C'est l'infirmière en chef qui a observé toute la prestation. 
    "Bravo, docteur, je vois que vous avez trouvé chaussure au pied. Non seulement c'est une sacrée salope mais elle est aussi docile et obéissante ! Permettez, docteur, que je vous l'emprunte ! J'aimerais contrôler si elle est tout aussi performante quand elle doit faire jouir une jolie chatte de femme qui a le feu ...
«12»