La promotion (suite de l'aide-soignante) - Histoires de Sexe

La promotion (suite de l'aide-soignante)

Après avoir satisfait mes résidents et avoir été couvert du jus de couilles des deux queutards (décidément insatiables), je prends une douche et je me rends dans le bureau de l'infirmière en chef où je suis convoqué. Madame Géraldine (surnommée la gouine) me fait la lecture d'une lettre dans laquelle on lui demande de me promouvoir au titre d'infirmière spécifiquement affectée au bien-être des résidents et  éventuellement du personnel. 
Madame Géraldine : "Vous comprendrez qu'avant d'accéder à cette demande, je vérifie par moi-même si cette réputation n'est pas usurpée. Deshabillez-vous sans rechigner et tout de suite !" Ce jour-là, j'avais etrenne une nouvelle acquisition, un body ouvert sculptant mes seins et mettant en valeur mes aréoles brunes, un serre-taille faisant office de guêpière dont les agrafes sont ornées de papillons froufroutants et retenant des bas à couture. 
"Monsieur (ou devrais-je dire mademoiselle) a des goûts de luxe : un soutien-gorge pigeonnant Victoria Street, une guêpière Intissimi, et des bas   Calzedonia! Très joli!"
Entre-temps Madame ...

... Géraldine avait pris place dans le fauteuil, releve sa blouse et descendu sa culotte ! 
"Petite garce, viens me brouter le minou ! Je veux ta langue dans ma chatte et mon œillet!"
Demandé si gentiment, je ne peux que m'exécute r et je mets toute mon assiduité pour lui prouver que je peux satisfaire aussi bien les hommes que les femmes. Ma langue titille son clitoris qui devient turgescent au fur et à mesure de mes lapements furtifs sur ses grosses lèvres pulpeuses. Je salivais sur cette corolle étoilée qui se trempait et une fois son minou dégoulinant de cyprine, j'ai écarte ses globes fessiers et après quelques passages de ma langue dans son anus, l'entrejambe de Madame Géraldine était si mouillée que son jus de cyprine coulait aux commissures de mes lèvres. J'avais gagné mes galons et la perspective d'être la "proie" consentante des résidents Côme du personnel ouvrait une voie royale pour mes envies (mes besoins ?) de soumission. 
A l'idée de subir(?)leurs attouchements et d'être à tout moment sollicité pour combler leurs désirs, je me réjouissais intérieurement !