La Croisière S'Amuse
Datte: 31/03/2024,
Catégories:
Gay
Vos histoires
Auteur: Ungarees, Source: Histoires-de-Sexe.club
Soixante ans...
Il me semble bien que c’est l’âge pour être un gros dégueulasse ou un vieux pervers, et il est vrai que si c’est un âge où le désir et ses manifestations se font rares et brefs, l’envie du désir et de ses manifestations ne faiblissent pas, c’est-à-dire que le temps passé à fantasmer sur des activités sexuelles dépasse presqu’infiniment celui qu’on consacre à leur concrétisation.
Donc oui, me voici devenu un gros dégueulasse et un vieux pervers.
Je "possède" un petit blond, jeune, très mince, imberbe, saqué dans une salopette short bleu ciel dont les bretelles tendues aux épaules écrasent une chemisette blanche très ajustée, chaussé de bottines blanches montantes lacées très haut, telles des Doc Martens. Il est à moi.
Le voici bronzé, appuyé au bastingage du navire que nous avons choisi, faisant les îles grecques.
Mer bleue azur et chaude, soleil. Je me colle à lui par derrière, il sent la chaleur et la raideur de ma verge entre ses fesses. Je m’appuie sur lui, il est ému. Je lui chuchote à l’oreille d’aller dans notre cabine, de s’y préparer et de m’y attendre. Il rougit, lâche le bastingage, m’embrasse sur la bouche et y va. Il sait ce qu’il a à faire. Je patiente une quinzaine de minutes avant de le rejoindre. Je respire le parfum de la mer tout en me réjouissant des moments que nous allons passer.
Ça y est, j’y vais. J’entre dans la cabine. On en a pris une grande. Il a fait ses lavements, il est en body de dentelle blanche, un body ...
... porte-jarretelle, avec des bas blancs. Il a un collier de chien, en cuir, bien serré. Il est à quatre pattes sur le lit. J’arrive par derrière. Je m’agenouille sur le lit et déboucle ma salopette. Oui, j’en ai aussi une, noire, en cuir. Je la fais tomber. J’ouvre mon body. Oui, j’en ai un aussi, moins féminin, mais avec trois pressions à l’entrejambe. Je bande dur. Je décale l’entrejambe du body et le pénètre d’un coup, long, massif et j’arrive en butée. Il s’était bien lubrifié. J’ai pris un demi Viagra qui me permet de tenir plus de dix minutes pendant lesquelles je le lime comme une locomotive. Je l’entends haleter. Il tourne la tête et lance vers moi un regard suppliant. Je l’embrasse, et de ma main libre, je le masturbe. Il est dur lui aussi. Il a beau me serrer comme un damné, je sens comme il se retient, il ne veut pas que ça finisse tout de suite, il veut que ça dure, il sait que je mets beaucoup plus de temps que lui pour recharger mes batteries, eh oui, on a presque quarante ans de différence. Je fais tout ce que je peux pour tenir, mais à un moment, je n’en peux plus, je souffle et je l’empale de toutes mes forces, on se retrouve contre le mur. Il couine parce que j’ai lâché sa verge. Je la reprends et nous finissons ensemble, ce qui comme chacun sait, est la véritable preuve d’amour.
Je le déshabille complètement, nous allons à la douche, je le lave soigneusement, partout. Je le sèche et le rhabille. J’aime jouer à la poupée avec lui. Je lui mets ses socquettes, son ...