Vacances au club
Datte: 18/03/2024,
Catégories:
Transexuels
Vos histoires
Auteur: Ungarees, Source: Histoires-de-Sexe.club
... lança :
- Tu veux encore me faire répéter?
- …non… oui… je…
Et j’enlevai mon slip. Je le laissai par terre, c’est vrai qu’il était vieux et élimé. Malgré le lavage, il était grisâtre. Pas de quoi être fier. J’étais hyper gêné, je bandais à moitié, surtout qu’elle faisait comme si elle ne remarquait rien. Bander à moitié c’est la honte. Elle sortit de la valise une sorte de body
- Tiens, mets ça!
- Ça? Mais… c’est un truc de nana!
- Tu commences à me peser. C’est un peu trop vite. Nana ou pas, ça t’ira très bien.
C’était un body blanc sans manches, ras du cou, satiné. Il n’y avait pas d’étiquette de marque, mais ça devait être cher. C’était très élastique et soyeux. Je faisais mine de l’enfiler, par la tête
- Ah! Non! C’est trop petit! Je peux pas le mettre
À peine avais-je fini ma phrase que je me pris un coup de cravache cinglant sur le bas des fesses, m’épargnant de justesse les parties
- HA! Non, en fait, ça va, c’est ma taille pas de problème…
J’essayai maladroitement de fermer les trois pressions à l’entrejambe et quand j’eus fini, je m’aperçus que je bandais bien dur. Elle aussi elle s’en aperçut, et ça avait l’air de la gêner moins que moi. Cette brève séance de domination était la cause de mes émois, augmentés par ce sentiment étrange et inhabituel d’être empaqueté, moulé.
- Maintenant, tu mets ça, ça, ça et ça. Et tu te magnes
Tout en parlant, elle jeta trois paquets et une grosse boite à chaussures sur le lit
- Tu… tu te changes pas?
- Plus tard. ...
... Toi, y a urgence
Il y avait une chemisette blanche qui sentait bon le neuf. Elle était jolie, ajustée mais légèrement bouffante aux épaules. Encore un truc de nana. Elle me déguise! Il y avait ensuite une salopette short bleu ciel, avec une taille haute, que j’enfilai et boutonnai péniblement sur les côtés. Quatre boutons de chaque côté. Elle était vraiment serrée, moulante, du coup, on voyait bien que je bandais. Ça me moulait le ventre et les fesses. J’attachai les bretelles comme je pus. Enfin, j’enfilai la paire de socquettes et la paire de Doc Martens blanches, très hautes, qui m’arrivaient en haut des mollets. Je n’osais pas imaginer le tableau et m’assis sur le lit
- Debout!
Cria-t-elle. Je me levai « comme un seul homme » et me retrouvai à côté d’elle
- Viens là, mets-toi là… face à moi
Elle attrapa les bretelles de la salopette qu’elle défit. Je les avais entortillées. Elle les remit à plat et les raccrocha un peu nerveusement, et elle les tendit vigoureusement l’une après l’autre. La salopette me rentra davantage dans les fesses, et on voyait encore plus que je bandais. J’émis un petit cri sourd.
- Ça ira. C’est pas parfait, mais ça ira. On y va.
Je voulais voir à quoi je ressemblais, mais elle me guida de petits coups de cravache sur les fesses pour me faire sortir du bungalow. J’aurais voulu me voir dans la salle de bain. Pour sûr, je me sentais excité mais ridicule. Elle avait anéanti ma masculinité, ou au moins, elle m’avait fait régresser.
- Tu m’as ...