Amitiés Et Jeux "Interdits" Secrets Entre Mecs (30). - Histoires de Sexe

Amitiés Et Jeux "Interdits" Secrets Entre Mecs (30).

... baisser son short noir. J'écartai un peu le mien pour dévoiler mon trou et sentis son gland baveux appuyer sur ma rondelle qui le laissa passer sans autre forme de procès, ses 22 cm avec, dans un aah de soulagement.

Et c'était parti pour cinq à dix minutes de gymnastique, rarement plus. Flexion des jambes et mouvements du bassin. En avant, en arrière. Assez vite pour en finir rapidement et soulager huit couilles qui bringuebalaient dans nos shorts. Très rapidement, l'un d'entre nous annonçait sa jouissance arriver et les autres suivaient dans la foulée. Ça fonctionnait assez bien en général. Chacun envoyait sa cargaison de sperme juteux dans le ventre du copain devant lui, sauf le premier qui éjaculait sans les mains en bramant comme un cerf, son jus atterrissant perceptiblement dans les feuilles mortes avec un bruit de papier sulfurisé que l'on froisse.

Une fois vidés, nous nous retirions des fesses devant nous, réajustions nos tenues avant de poursuivre notre course, du sperme coulant le long de nos jambes, comme si rien ne s'était passé. C'était notre sport à nous et je ne compte plus les enculades dans les bois.

Nous aimions aussi particulièrement les sports de combat comme le judo et le karaté, spécialement les immobilisations au sol. Le soir, parfois, avec l'équipe, nous utilisions le dojo du centre sportif de la caserne car il n'y avait plus personne et pouvions le refermer à clé. Avec un éclairage au minimum, nous pouvions alors nous entraîner au combat au ...

... sol, mais c'était surtout un prétexte pour baiser. Nus sous nos kimonos, par couples, nous nous roulions au sol pour nous immobiliser sur le tatami et nous frotter l'un un contre l'autre, nos pines tendues et nos anus bien lubrifiés pour le partenaire qui vous choisirait, jusqu'à ce qu'une connexion se fasse, qu'une queue puisse rentrer dans un trou.

L'autre devait jouer le jeu et se défendre quand même un peu, et ne pas se laisser embrasser ou sodomiser sans résister. Les binômes se formaient et s'éclataient sans cesse jusqu'à ce nous arrivions à bloquer un partenaire, lui baisser son pantalon et l'enfiler jusqu'au fond.

Ce coup-là, Michel parvint à choper Lionel et à le maintenir suffisamment pour avoir le temps de sortir son manche, le pénétrer par derrière et commencer à forniquer avec lui. Lionel, enfoncé jusqu'au fond, se mit à feuler de joie sous les coups de reins à Michel, qui l'emboîta sauvagement, les fesses à l'air et les couilles battantes.

De mon côté je pus coincer Alain et le plaquai au sol en me couchant sur son dos. En gigotant, je parvins à lui baisser son bas de kimono et le mien dans la foulée. Alain finit par se redresser sur les coudes en se débattant, mais c'était trop tard. Il avait les fesses à l'air et mon gland circoncis était déjà à la recherche de sa rose bien serrée et offerte à l'emploi. Il s'appuya dessus et mon organe de reproduction força son intimité en lui rentrant dans le ventre dans un râle de satisfaction, puis je l'agrippai par ...