un plan culs - Histoires de Sexe

un plan culs

... cul ! On décide alors, vu l’état d’excitation dans lequel on est tous, de conclure ce premier épisode. Alors, on se met tous les trois à genoux et on s’enfile les uns dans les autres . Bien sûr, la place de choix, revient, pour cette fois à Noé. C'est-à-dire au milieu. Mettre et se faire mettre. Noé le visite par l’arrière et moi, je le sens dans mon cul. On décide de jouir ainsi pour cette première fois. En plus, Noé me branle copieusement. Il y va tellement fort que je jouis le premier mais je reste car je veux recueillir sa semence en moi. Slim et lui, vont mettre un sacré bout de temps avant d’exploser à peu près en même temps tous les deux.
Fin du premier round. On pique un petit somme réparateur.
Au cours de la nuit, je vais me réveiller avec une gaule d’enfer. Et comme ma bite est déjà dans la raie de Noé, puisque je dormais collé à son dos, y’apluka… Je commence à glisser doucement dans sa raie. Ca le réveille aussitôt et il me chuchote que je peux y aller, qu’il adore ma pine, qu’il veut la ...

... sentir encore en lui et out et tout. Je me glisse facilement en cuiller cette fois dans son fourreau encore un peu dilaté par les coups de boutoir de Slim et contenant encore un peu de son sperme. Je glisse à l’aise dans son ventre chaud. J’adore sentir ma bite aller et venir en lui, ses fesses contre mon ventree, son dos collé contre mon ventre….Je suis bien. Je le serre très fort. On va ainsi inverser ainsi les positions plusieurs fois. On va éjaculer l’un dans l’autre, à tour de rôle, sans que ça réveille Slim. On se rendort.
En fin de nuit, je suis à nouveau réveillé par des mouvements dans le lit. Ne voulant pas me réveiller totalement, j’essaie de deviner dans un demi-sommeil. A mon avis, c’est Slim qui l’encule allègrement. Ca va même durer un sacré bout de temps.
On émerge tous les trois sur le coup de onze heures. Là encore, la douche collective sera encore l’occasion de longs baisers langoureux, de caresses…
On se quitte, reups de sexe.
« -Hé ! Les gars ! C’est quand vous voulez, hein ? « .