1. La découverte


    Datte: 06/08/2019, Catégories: fh, fplusag, fagée, odeurs, BDSM / Fétichisme couche, massage, Oral Auteur: Dalibor, Source: Revebebe

    A Sensonnens, à la Pension du Gai Pinson où je suis employé comme homme à tout faire, je coule des jours heureux avec mes soixante années bien sonnées. Même si au niveau des performances amoureuses, ce n’est plus ce que c’était. Il n’y a qu’un bémol dans ma vie, c’est que le cerveau n’ait pas suivi le sexe. L’envie de sentir une femme frémir dans mes bras est toujours aussi forte, mais j’ai un fort complexe de ne pouvoir suivre mes désirs et ne pouvoir honorer entièrement l’objet de mes soins. Comme la patronne, avec qui j’ai eu de nombreux plaisirs dans la vie, ne semble plus très intéressée par les choses se situant au-dessous de la ceinture, je suis un peu frustré.
    
    Un rayon de lumière est cependant apparu dans la grisaille de ma vieillesse. Nous avons hérité d’une pensionnaire âgée de plus de huitante ans (quatre-vingt pour ceux qui sont restés à la numérotation celtique). D’humeur douce, régulièrement elle me provoque doucement par des pincements sur les cuisses, dans le dos de la patronne. Evidement une certaine complicité est née. Une fois, pour voir jusqu’où elle assumait ses taquineries, je caresse sa vieille poitrine. Là, surprise, loin de me repousser, elle se laisse tâter les seins, mais pas plus loin.
    
    Nous sommes en plein été et nous sommes habillés légèrement. Principalement, je me traîne toute la journée en bermuda. De temps en temps, je lui montre le bout de ma queue et elle prend des airs outrés, mais en gardant un œil curieusement bien ...
    ... ouvert.
    
    Comme les douches sont accessibles à tous, mais à tour de rôle, j’ai remarqué qu’elle y allait et qu’elle avait oublié de fermer la porte à clé. Curieux et aventureux, je me risque dans la salle de douche et je lui propose en baissant mon bermuda de prendre une douche commune. La pauvre, elle est choquée et déguerpit à une vitesse grand V dans sa chambre. Après avoir passé rapidement sous la douche, je vais la retrouver dans sa chambre. Là, elle est encore en culotte et a les seins à l’air. Ni une ni deux, je m’agenouille et lui embrasse un sein, puis l’autre. Je tête un grand moment, sans qu’elle manifeste un quelconque mécontentement.
    
    Enfin, je la laisse et vais passer tranquillement le reste de la journée dans le jardin, à retourner un carreau. Il me faut au moins ça pour faire descendre le bouillonnement qui agite tout mon corps. Au repas du soir, alors que nous sommes seuls, je lui explique que j’aimerais également goûter son abricot. Là, de nouveau, elle me fait une mine offusquée et me traite de dégoûtant, m’expliquant qu’elle a de temps en temps des incontinences. Je prends alors mon air le plus triste possible et d’une voix triste, je lui dis que je comprends, mais que cela ne fait rien.
    
    Après le dessert, nous nous retrouvons seuls au salon où je recommence le pelotage des ses seins. Je remarque qu’elle a de très gros pis, même si ses seins ont tendance à ressembler à des oreilles de chiens de chasse. Je lui malaxe longtemps le sein droit et je remarque des ...
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