-
serieux, j'ai eu peur
Datte: 02/02/2024, Catégories: Gay Vos histoires Auteur: Melamoi, Source: Histoires-de-Sexe.club
septembre dernier, je fais du velo en foret. il fait chaud. je croise un couple de jeunes motards a pieds, casques a la main. je leur dis bonjour. ils me saluent. je me retourne, ils penetrent dans le bois, par un sentier. j'ai compris, ils cherchent un endroit pour baiser. ni une, ni deux, je fais demi tour. j'ai envie de les matet, excite. apres 100 metres de sentier, je crois voir quelqu'un. tout doux,j'approce en me cachant. ce sont eux. ils sont deja nus, allonges,colles l'un a l'autre, se devorant la bouche. j'apercois la bite du gars qui m'a l'air de belle taille. je les observe longuement, ils essaient a peu pres toutes les positions avant que le gars se decide a l'enfiler doucement ces deux la ont l'habitude de baiser ensemble, ca se voit. la fille a empoigne le cul de son copain et le tire a lui a chaque coup de bite. lui, se retire completement a chaque fois ce qui me permet d'admirer son vingt bons centimetres. ils commencent a gemir tous les deux, de plus en plus fort. excite, j'ai plonge ma main dans mon slip. et c'est alors qu'une main vient se poser contre ma bouche, comme un baillon et qu'une voix ...
... me chuchote a l'oreille : " chuuut ! laisse toi faire !" je sens qu' un homme me colle par derriere. interdiction de me retourner. deja sa main a remplace la mienne dans mon slip. il me branle doucement. c'est bon, j'ai moins peur, je sens qu'il ne me veut pas de mal, au contraire. j'entends alors un zip derriere moi, il decolle son autre main de ma bouche, prends ma main et la glisse dans son slip. sa bite est super raide et toute mouillee et de belle grosseur. je la branle doucement. devant, les amoureux se dechainent maintenant. on les entend nettement gueuler. nous aussi, on s'active de plus en plus vite. je jouis le premier, puis lui, puis eux. on s'en fout partout. pas grave. a nouveau, il me chuchote a l'oreille : " choukran ! ne te retourne pas, attends un peu." je l'entends partir. devant les deux amants sont allonges dans une tache de soleil, sur la mousse . magnifique! a mon tour, je repars. non loin de la, des forestiers tronconnent. j'ai le temps d'en apercevoir un, maghrebin,torse nu. en passant il pousse sa tronconneuse a fond, en guise de salut. p.....n ! que j'ai eu peur mais quel pied aussi ! "
«1»