Sonia, la sœur maquerelle - Histoires de Sexe

Sonia, la sœur maquerelle

Sonia ma sœur a eu l'idée de me proposer de devenir une sorte de catin itinérante. Je reçois dans mon camping-car des "clients" pour les satisfaire et répondre à leurs envies. Sonia se charge de trouver les amateurs en les recrutant sur internet. Reste le problème des propriétaires du terrain où j'allais exercer.: un couple de paysans assez peu au courant des mœurs actuelles. C'est aussi Sonia qui se charge de les convaincre d'accepter en échange de divers petits services. 
"C'est une vraie chienne, mon frangin ! Il se fera une joie de combler vos désirs. Si Monsieur veut en profiter pour se faire sucer, cette petasse n'attend que cela ! " Par contre, si Madame est en manque, rien de mieux que de faire appel à cette sissy soumise ! Et même pas besoin de vous retenir.! Une vraie fiotte à sperme, à cyprine et à pisse."
Gilbert, le paysan, est le premier à faire appel à mes services. Il me fait venir, se defroque et me demande de lui pomper le noeud à genoux comme une chienne. Je lui obéis, me mets à genoux, prends son chibre noueux en bouche. Sa queue sent fort la pisse ce qui m'excite encore plus, son gland violacé est délicieux, ses bourses sont lourdes, j'avale la belle biteet commence une succion endiablé. Monsieur Gilbert me prend par la nuque et m'impose un rythme endiablé. Il est pressé ...

... de vider son trop-plein de foutre et il ne tarde pas à jutersur mon visage et mes dessous. Son jus de couilles dégouline le long de mes joues pour atterrirsur mon soutif et salir les bouts de mes seins. 
"Purée, pour une salope, tu suces bien ! Mais regarde ta sale gueule pleine de foutre ! Il va falloir nettoyer ! Ouvre ta gueule de poufiasse ! Je vais te rincer le gosier avec ma pisse, il paraît que tu aimes ça ! Mais n'espère pas que je vais t'enculer, j'ai horreur des pédales ! Par contre ma femme, ça fait longtemps qu'elle rêve de baiser une tartouze alors la prochaine fois tu vas réaliser son fantasme!"
Monsieur Gilbert fait tomber les dernières gouttes de sperme sur mon visage avant de se forcer à vider sa vessie. Je sais pas si Monsieur Gilbert avait bu de la bière ou de l'eau mais sa réserve d'urine est conséquente et des flots de pisse m'arrosent tant que je ne peux tout avaler et que sa pisse déborde et coule sur mon soutif que j'avais degrafe de sorte que mes tétines ont été salies par son urine qui continue à glisser pour se noyer dans le creux de mon nombril et finit par empisser ma culotte. 
Monsieur Gilbert est content et avant de partir me dit : "Tu vas me faire une gâterie chaque matin et le soir tu t'occupes de ma bobonne et gare à toi si nous ne sommes pas contents de toi!"