Le camping-car - Histoires de Sexe

Le camping-car

Cette année, j'ai fait l'acquisition d'un camping-car. J'ai décidé de sillonner les routes de France à la recherche d'aventures insolites. Au volant de mon véhicule, j'ai revêtu mon costume de dragueuse: caraco transparent sous lequel mes petits seins dévoilent des aréoles brunes prêtes à se dresser à la moindre occasion, petite jupe ultra-courte, culotte blanche avec traînées jaunâtres, socquettes blanches de midinette en journée mais des bas nylon à couture en soirée. 
Je fantasme sur les futures galipettes comme celui d'offrir mes orifices intimes à deux bons queutards amateurs de travelos soumises. Où alors de faire la connaissance de femmes dominatrices. 
Un jour, une envie pressante, je m'arrête au bord de la route et comme j'en ai pris l'habitude (bonne ou mauvaise ?), je m'accroupis pour faire pipi comme une fille mais je n'ai pas descendu mon slip alors mon urine trempé le morceau de tissu. La salope en moi-même pousse à titiller mon anus, mes doigts evasent mon trou du cul, j'ai envie de me doigter quand, tout à coup, j'entends deux personnes qui s'adressent à moi:
"Tiens, une poufiasse travestie qui se doigte la chatte anale ! J'ai bien envie de me la faire!"
"Et moi j'ai envie de vider mes couilles dans sa gueule de pute !", dit ...

... l'autre. Baissant son jean et sortant sa bite, il me la met d'autorité en bouche et commence à me limer la bouche à coups appuyés. Je suis à genoux en train de happer sa grosse teub noueuse encore imprégnée de l'odeur de pisse (quel régal de déguster une grosse bite à l'odeur de pisse). Pendant que je pompe le noeud de l'un, l'autre ouvre sans délicatesse le croisement de mon entrejambe, introduit quelques doigts fureteurs dans mon anus, les tourne dans mon fondement comme une foreuse avant de m'embrocher comme une vulgaire viande. 
"Quel pied ! Cette poufiasse est bien étroite ! Elle fait coulisser ma teub ! En plus elle mouille du cul comme une chatte en chaleur ! Je vais la féconder !" En effet je bouge mes fesses de telle sorte que sa queue est avale entièrement par mon conduit anal si bien qu'au bout d'une vingtaine de va-et-vient, il inonde ma matrice jusqu'au scrotum. Non content de m'avoir baisé divinement, il continue ses va-et-vient, écarte encore plus largement mon œillet et un liquide chaud jaillit de sa vessie. Pour finir, le queutard recueille le foutre mélangé à sa pisse dans un verre qu'il déverse sur mes dessous. Les deux queutards me laissent, pantelant sur la couche de mon camping-car.
Prochain épisode : ma rencontre de deux femmes