Stéphanie de femme fidèle à chienne _2
Datte: 09/03/2018,
Catégories:
Anal
Hardcore,
Mature,
Auteur: tirkhard, Source: xHamster
... Et t’es bien plus agréable à regarder comme ça. C’est pas tout ça, il est où le lit du cocu.
— Je peux me nettoyer le visage avant, maître.
— Bien sûr que non. Je vais te prendre le cul dans le lit conjugal comme ça, pendant que tu ressembles vraiment à la grosse chienne adultère que tu es.
Dans la chambre, il me pousse brusquement dans le dos, me renversant sur le lit. Je le sens monter derrière moi. Il s’agenouille au-dessus de moi et écarte mes fesses avec ses mains. Il joue avec le plug qu’il s’amuse à tirer légèrement pour écarter ma rondelle rougie. Il finit par m’arracher le plug et présente son gland devant mon œillet.
— S’il vous plaît, pas à sec.
Je sens la pression de son gland augmenter et se frayer un chemin dans mon anus. Je pousse un long gémissement plaintif.
— Je t’aurais craché dans le cul si tu t’étais adressée avec moi avec respect. Mais ne t’en fais pas, d’ici à demain, tu n’oublieras plus jamais de m’appeler maître ou monsieur. Et avec tout le sperme que ton cul a gardé, ce sera pas une bonne sodo à sec.
Paulo prend possession de mon cul avec force. Il va aussi fort, vite et profond que possible. Il cherche à me faire hurler. J’essaie d’étouffer mes gémissements dans le matelas, je sers les draps entre mes dents, mais il veut que tout le monde puisse entendre comment il me possède. Il att**** mes cheveux et tire ma tête en arrière me faisant pousser un long cri aigu.
— Cris, salope. Je veux que tout le monde dans l’immeuble ...
... t’entende. Je veux qu’ils comprennent tous que t’es pas une bourge comme eux, mais une vraie pute.
J’essaie de me contenir, mais il ravage tellement mon cul que je ne peux que couiner sous ses assauts. Il m’écrase de toute sa masse et je prends mon pied comme jamais. Je finis par perdre complètement pied.
— Oui ! Oui ! OUI ! Plus fort. Éclate mon gros cul. Je suis ta salope, ta chienne ! Inonde mon cul de pute avec ton foutre !
Paulo se lance dans un pilonnage d’une sauvagerie folle, mon cul va éclater. Mais c’est bon. C’est si bon ! Il finit par craquer en hurlant.
— Tiens, pends ça dans ton cul, grosse chienne !
Il m’inonde les intestins de toujours un peu plus de foutre, m’emmenant dans une jouissance terrible qui me laisse presque inconsciente.
Je n’ai le droit de quitter ma chambre qu’en début de soirée pour nous faire à manger. Durant le temps où il savoure ce que je lui avais préparé, je suis sous la table à le sucer. Cet homme est une véritable machine pour être capable d’encore bander, d’avoir encore envie de moi. Quand il a terminé, il sort son sexe de ma bouche, se lève et me sert mon assiette au-dessus de laquelle il s’astique pour y déposer une bonne couche de sperme.
— Ton nouveau régime alimentaire. Tous tes repas seront désormais assaisonnés au foutre, que ce soit le mien ou celui d’un autre homme venu te tirer.
Il pose l’assiette à ma place et retourne s’asseoir.
— Bon appétit.
Après tout ce que j’ai déjà fait et subi, je ne suis pas ...