Cette chère belle-sœur
Datte: 03/08/2019,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
fplusag,
fête,
fsoumise,
fdomine,
vengeance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
ffontaine,
fouetfesse,
Auteur: Bijanus, Source: Revebebe
... lui réponds par un, le plus niais possible, aimant jouer les gourdes avec elle.
La soirée est déjà bien avancée, nous discutons encore un moment puis l’heure du départ est venue. Quand je me lève, je pense à examiner le cousin jaune sur lequel j’étais assise, une petite auréole sombre marque la place de mon fessier. Mon sexe dégoulinant a laissé un souvenir. Fanny m’enlace alors pour me dire au revoir, ses mains s’égarant sur mes hanches. Thierry montre la même chaleur dans la voix et le geste et nous nous donnons rendez-vous au lendemain à la plage. Hélène me lâche un bonsoir glacial, Paul montre beaucoup plus de sollicitude et nous accompagne jusqu’à la voiture. Pour qu’il garde une belle image de moi et qu’elle lui remplisse la nuit, assise dans la voiture, je garde mes jambes dehors largement ouvertes. Il a du mal à regarder sa sœur qui lui fait ses adieux, ses yeux sont scotchés entre mes cuisses.
Enfin parties, Sylvie est non seulement aux anges mais son regard luit d’une lueur ardente, assise derrière son volant, elle me demande :
— Contente de ta soirée ?
— Oui très agréable, ils sont charmants, chacun à leur façon.
— Même la façon d’Hélène t’a plu ? demande Sylvie en rigolant.
— Ça a son charme à sa façon, dis-je en rigolant aussi.
— Moins que les attentions de Paul quand même, j’imagine la tête qu’elle aurait faite si elle t’avait vue te faire tripoter les nichons par lui. Elle t’aurait sauté dessus toutes griffes dehors en te traitant de tous les ...
... noms.
Ses yeux sont encore plus brûlants quand elle évoque cette situation. Je ne sais si c’est l’idée de voir sa belle-sœur en rage ou celle de l’imaginer se déchaînant sur moi d’une manière plus ou moins vicieuse. Pour abonder dans se sens, je réponds :
— Mon postérieur aurait certainement subit les foudres de sa colère.
— Ah ! Ah ! Et t’aurais aimé ça en plus, je parie, elle aussi, va savoir, elle cache peut-être son jeu.
Nous rigolons toutes les deux. Le silence se fait quelques minutes ce qui me laisse le temps d’imaginer une Hélène tenant le rôle de ma professeur d’anglais Anne-Marie (lire : 13621 et 13695). Ce rôle de maîtresse-femme me corrigeant pour mon comportement déluré avec son mari, bêtement l’idée m’excite. Sylvie me sort de mes pensées tordues en me parlant de nouveau de la soirée, des attentions soutenues de Fanny et son mari et des moments les plus croustillants. Ceci n’est pas fait pour calmer la chaleur qui bouillonne dans mon bas-ventre. Aussi, c’est une Catherine bien excitée qui sort de la voiture à notre arrivée. Je monte seule vers ma chambre, Sylvie faisant une pause toilette au passage. Dans le couloir à l’étage, je vois que la porte de Damien est entrebâillée et qu’un rayon de lumière s’en échappe. Je jette un œil au passage, il est assis devant la porte-fenêtre de sa chambre, occupé sur son ordinateur.
Une fois dans ma chambre, il fait une chaleur étouffante, j’éprouve le besoin de prendre l’air sur le balcon. Sur ma droite, un fin fil de ...