1. Noces orgiaques (songe d'une nuit d'été) (1)


    Datte: 02/08/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: chloe23, Source: Xstory

    ... robe, sur l’estrade. Je reste nue, immobile, seulement vêtue de mes bas résille et de mes hauts talons, et je ferme les yeux à demi, savourant l’impatience de l’attente.
    
    Alors, les deux jeunes filles, toujours incroyablement sexy avec leurs robes qui découvrent leurs petites poitrines et leurs monts de Vénus, me font étendre sur la table. Chacune saisit un de mes poignets et une de mes chevilles, et je me retrouve offerte sans défense, les bras et les jambes écartées.
    
    En signe de soumission de ma part, Juliette prend entre ses doigts mes petits tétons, et les fait saillir, pour installer deux pinces à seins, qui les écrasent. Ils sont reliés par des chaînettes à une autre pince, qui vient enserrer mon petit bouton d’amour, et je gémis lorsqu’elle les règle pour intensifier la douleur.
    
    Puis elle s’agenouille, à l’extrémité de la table, entre mes cuisses. Je sens sa longue chevelure blonde qui les effleure, sa bouche qui se pose sur mon sexe... Je gémis de plus belle, mais de bonheur cette fois. D’autant plus que des spectateurs mâles se sont rapprochés...
    
    Ils sont nus aussi. Les deux "enfants de chœur" guident mes mains, pour que je saisisse deux verges, dures et tendues... Je sais que je vais plonger dans la spirale du plaisir et des orgasmes...
    
    La langue de Juliette s’active. Elle me connaît par cœur, elle sait toucher mes points sensibles, avec une adresse diabolique. Alors, il ne lui faut que peu de temps pour m’arracher mes premiers petits cris, ...
    ... lorsqu’elle lèche ma fente, s’insinue à l’entrée de ma grotte, remonte sur mon clito.
    
    Elle le libère de la pince qui la gêne, pour le prendre entre ses lèvres, le sucer, l’aspirer. Je sens ses dents... Elle le mordille, faisant naître de petites décharges, dont je ne saurais dire s’il s’agit de vraies douleurs, tant je suis excitée.
    
    De toute manière, je ne peux plus crier. Une énorme queue remplit ma bouche. C’est celle de Patrick, l’ancien amant de Juliette. Elle m’avait toujours dit qu’il était monté comme un taureau ; elle était encore en dessous de la vérité...
    
    Mais pour l’instant, les doigts de Juliette s’activent dans mon antre d’amour. Un bruit humide ponctue les va-et-vient de son majeur et de son index, pendant qu’elle continue de dévorer mon petit bouton. Elle est penchée en avant, cambrée, et j’aperçois, derrière elle, le "prêtre", qui s’est débarrassé de son smoking, en train de la doigter aussi.
    
    Un autre invité est en train de caresser une des deux très jeunes filles, qui tiennent mes poignets et mes chevilles, et il la débarrasse de sa robe impudique. Qu’est-ce qu’elle est excitante, avec son corps de femme enfant, et son regard à l’innocence perverse !
    
    J’ai déjà connu des situations... chaudes, mais celle-ci les surpasse. Jamais je n’ai été à ce point l’objet de l’attention et du désir d’un "public" aussi nombreux. Mes petits nichons pincés me font mal, tant ils sont gonflés et tendus. Je coule sur la main de ma Juliette, et je feule de plaisir.
    
    Je me ...
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