1. Noces orgiaques (songe d'une nuit d'été) (1)


    Datte: 02/08/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: chloe23, Source: Xstory

    ... mon partenaire soulève et écarte. Alors, elle présente le gland de silicone entre mes petites lèvres brillantes de mouille, et elle l’enfonce, lentement, mais sans marquer de pause, m’arrachant de petits cris.
    
    — Tu aimes ça, te faire prendre en sandwich, ma petite pute, me demande Juliette.
    
    — Oh oui, tu sais bien.
    
    — Et encore plus le jour de nos noces, devant tout le monde. Dis le que tu aimes ça !
    
    — Oh oui, ma Juliette. J’aime ça ! J’adore ça !
    
    — A toi, Carl, lance-t-elle en se retournant vers le hardeur, qui entretient son érection en se branlant.
    
    Il s’installe derrière elle, il plie les genoux, et je passe mes bras autour des hanches de Juliette, pour écarter ses fesses au maximum. Et aussitôt, il plante son dard dans le petit trou de mon épouse.
    
    Elle se mord les lèvres, mais elle ne peut pas retenir une plainte, tant l’homme est bien membré. Elle avait envie d’une baise sauvage et brutale, et elle a refusé tout nouveau préliminaire. Et il s’enfonce dans son cul, inexorablement.
    
    Les larmes coulent sur les joues de Juliette, pourtant dure au mal, mais à aucun moment elle ne demande grâce, et Carl remplit son adorable cul.
    
    Lorsqu’il s’est entièrement enfoncé entre ses fesses, nous marquons un temps d’arrêt, pour permettre à Juliette de se détendre. De courte durée, car très vite, elle se met à onduler des hanches, pour nous exciter.
    
    Alors, Carl commence ses allées et venues dans le petit œillet sombre et distendu de Juliette, donnant ainsi le ...
    ... départ d’une incroyable baise à quatre. Les mouvements du hardeur se répercutent dans le gode planté dans ma chatte, et me font coulisser sur la bite de notre "prêtre", fichée dans mon cul.
    
    Nos quatre corps, ruisselants de sueur, forment un édifice improbable et instable, mais nous parvenons à ne pas nous écrouler.
    
    Ce que je ressens est indescriptible. Je me suis déjà fait prendre par deux hommes, mais je n’avais connu de situation aussi excitante.
    
    — Oh oui, encule moi, Carl !... ordonne Juliette. Oh oui... Le gode me déchire ma petite chatte, chaque fois... J’adore !...
    
    — La mienne aussi, dis-je en criant. Oh putain !... C’est bon... Et mon petit cul ! Ooooh, il va exploser !
    
    — Oh ouiiii ! reprend Juliette.
    
    Des invités sont montés sur l’estrade. Certains malaxent nos seins, à Juliette et moi. Des femmes massent les couilles de nos partenaires.
    
    Ce somptueux coït se prolonge, dans un concert de gémissements, de cris, de rugissements de bêtes fauves. Je n’avais jamais eu autant l’impression de me faire démonter mon petit cul et ma chatte.
    
    Je suis la première à jouir. Mais les trois autres continuent, encouragés par Juliette.
    
    — Allez-y, bordel !... Oui ! Je viens... Encore plus fort !
    
    Bientôt, c’est au tour de ma Juliette d’être emportée par un plaisir dévastateur. Mais Carl continue. Mon "prêtre" n’a pas éjaculé non plus. Alors, je jouis encore, et Juliette me suit de près, dans un orgasme multiple, et je sens le foutre inonder mon anus.
    
    Je me ...