Baise en rêve, baise de rêve (1)
Datte: 02/08/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Hartigan23, Source: Xstory
... de couiner doucement. Je plaque mes mains sur ses seins, j’en veux toujours plus.
Je la baise de tous les côtés. En cuillère, à califourchon, tout, je veux toujours plus. Je cherche un moyen d’en finir, j’essaie d’être toujours plus violent mais même dans ce domaine j’ai une limite. J’ai envie de me vider corps et âme à l’intérieur de cette chienne, je recoiffe ses cheveux en natte et tire ma laisse improvisée.
Je la place en levrette, je sens que je vais m’amuser comme ça. Et jouir, surtout. Je tire sur ses cheveux chaque fois que donne un coup de reins, j’ai l’impression d’être une mitraillette qui tire 300 coups à la minute, c’est fou ! Je fouille, fouille, fouille son intérieur, je remue ses chairs autant que je peux, je la baise comme la chienne qu’elle n’a cessé d’être et là, je commence à connaître un pur sentiment de jouissance.
Je finis par me retourner, à m’asseoir dans l’herbe. La nuit tombe maintenant, mais j’ai envie de poser cette déesse sur mes genoux, je mets ma main sur ses épaules et la fais s’empaler sur mon dard. Elle a la bouche grande ouverte ...
... de plaisir, les yeux embués de sueur, je lui ai enfin montré ce qu’était un vrai homme ! C’est si glissant à l’intérieur... tout est si chaud même si le soleil est parti... j’ai l’impression de m’enfoncer dans la terre si le poids de nos efforts... c’est là, tellement bon, tellement chaud, je n’ai pas l’impression de jouir, mais une sorte de brume de chaleur m’entoure, me survolte, je suis tout électrisé... et la température chute aussitôt. Très vite.
La terre s’affaisse sous moi. Je chute, la tête de Camélia se perd dans les racines. L’instant d’après je me retrouve sur une table de terre, toujours allongé, comme si je n’avais jamais chuté. D’ailleurs, un corps enjambe toujours mon torse.
La silhouette se redresse. Ce n’est pas Camélia. Le corps évolue, s’amincit, les cheveux changent. Le nez s’allonge un peu, une lumière rouge vacillante pétille dans les yeux. Alors que le corps se redresse, je sursaute. Ma sœur est là, devant moi, et me regarde avec une terrifiante expression de désir.
Des racines cauchemardesques enserrent mes mains et mes pieds. Je suis coincé.