Marie, très chère maîtresse - Histoires de Sexe

Marie, très chère maîtresse

Après notre première rencontre dans les toilettes et après avoir avoué que je serai ravi d'être un soumis dont elle serait fière, Marie est devenue ma maîtresse. Je suis allé dans un sex-shop pour acheter tous les ustensiles qu'elle voulait pour asseoir sa domination. Le même soir, elle m'a envoyé un message pour m'informer de ses desiderata. 
"Demain, sous tes vêtements, tu porteras une tenue de fillette délurée ! Tu t'exhiberas devant moi ! Tu feras tout pour me prouver que tu mérités  d'être prise pour soumise ! Rendez-vous à 10h dans les toilettes ! Et n'oublie pas d'apporter le matériel adéquat !"
Vers dix heures moins le quart, je me suis rendu aux toilettes(pour femmes) pour me préparer à recevoir Marie. J'ai enlevé mes vêtements d'homme et je me suis admiré dans la glace. Ma tenue de fillette ingénue m'allait merveilleusement. Ma jupette d'écoliere couvrait à peine mon sexe bien epile, j'ai aussi entrouvert ma chemise pour dégager ma poitrine et faire dresser mes mamelons sous le porte-poitrine échancré. Je ne porte ni slip ni culotte et j'étais à genoux cuisses largement écartées pour offrir la vue de mon œillet étoile à Marie. Évidemment, à ma grande surprise, c'est Véronique qui entre et me voit dans cette position. Sans vergogne, elle s'approche de moi et commence à tirer sur mes nichons ...

... puis me fout quelques claques sur les fesses. 
"La petite Marie va bien s'amuser avec toi ! Elle va t'enculer avec un gode-ceinture puis elle va soulager sa vessie et si tu es bien obéissante, tu auras le droit de goûter à sa pisse ! Bon courage !"
Quand Marie entre, elle constate que j'ai suivi ses instructions et,après un examen minutieux de ma tenue, Marie contrôle si mon conduit anal est propre. Ses doigts farfouillent ma chatte anale. Je frétille des fesses pour lui faire comprendre à quel point j'apprécie ses attouchements. Marie prend alors les boules de geisha qu'elle introduit dans mon anus, les retire, me les donne à lecher avant de les  réintroduire. Elle continue tout en m'insultant: "La grosse merde! Elle mouille du cul ! Elle en veut, cette poufiasse ! C'est si bon que ce spectacle me fait aussi mouiller ! Regarde , ma culotte est toute trempée! Tu vas me payer ça!"
Et Marie a tenu parole : à partir de ce jour elle a décidé que je serai sa lingère privée, chaque soir, Marie me remet un paquet dans lequel ses culottes salies de mouille, de pisse voire même de résidus de menstruations m'étaient destinés pour un lavage à la main. Je dois filmer pour que Marie puisse se rendre compte que j'accomplis assidûment la tâche qu'elle m'a confiée. 
Depuis je suis accro aux commandements de Marie