1. séjour imprévu (2)


    Datte: 01/08/2019, Catégories: Hétéro Auteur: fatout, Source: Xstory

    ... que ton homme n’a pas su te faire apprécier, tu vas le vivre et en profiter. » Je sais ce qu’il va faire et de nouveau je l’appréhende, car s’il m’a déjà sodomisée, j’en garde encore le souvenir. « Détends-toi, je vais y aller doucement ». Son doigt commence à investir mon sillon et l’anneau est bientôt atteint ; à nouveau je me crispe. Prenant un peu de semence, il me taquine la corolle, avant d’y faire pénétrer un, puis bientôt deux doigts. Il y va plus doucement, et finalement l’idée de lui offrir un domaine, presque interdit pour Jean, cela a facilité l’acceptation ;
    
    Me mettant à quatre pattes, son gland se frotte sur l’entrée et petit à petit à petit, il pousse pour ouvrir le passage. Je le supplie d’arrêter car douleur est intense. « Tu veux m’appartenir totalement et faire cocu ton homme, alors il te faut tout accepter. Je hoche la tête en guise d’accord. Une grande claque s’abat sur mes fesses et il en profite pour me pénétrer profondément ; sa queue est en entier dans mon conduit, mais je ne peux retenir un hurlement ; pour la deuxième fois, en une nuit, il vient de me sodomiser.
    
    Soudain la porte s’ouvre ; c’est Jean, qui, sans doute effrayé par mon hurlement, vient de rentrer. Le tableau qu’il découvre doit le laisser stupéfié, car si la douleur est intense, je tiens ma vengeance :
    
    « Tu vois ton père me sodomise, c’est un cadeau pour lui seul » je ne peux en dire plus car Paul a commencé son pilonnage et sa queue me perfore méthodiquement ; son bassin ...
    ... vient percuter mes fesses et Jean peut voir la queue qui me possède, constater la possession totale, d’autant plus que la douleur diminuant, je commence à ressentir les prémices du plaisir anal. Mes gémissements et mes encouragements pour qu’il m’encule plus fort lui prouvent que mon plaisir est total et que son père me possède, rien que pour lui ; possession que lui rappelle son père en lui rappelant que je suis à lui, à sa demande, pour toute la nuit, soumise à ses envies, et cela marche et que le plaisir que je prends restera à jamais marqué dans la tête ».
    
    Sans mot dire, Jean quitte la pièce, la tête basse, pris à son propre jeu, lui qui m’a délibérément offerte, et jeu qui durera toute la nuit. J’avoue que je suis surprise de sa vitalité, de son endurance, car il me fera jouir encore trois fois, avant de me féconder, ce qui m’apportera une jouissance totale.
    
    Au matin, c’est Paul qui me réveille et me prenant par la main, il se dirige vers notre chambre. « Allons rejoindre ton mari, je vais te prendre devant lui, te faire crier de bonheur. Arrivés dans la chambre, où jean ne dort pas, il m’allonge sur le lit et m’écartant à nouveau les cuisses, il me plante son dard pour la énième fois, sous le regard médusé de mon mari qui peut voir le sexe me labourant le ventre. Je crie mon plaisir et mon bonheur d’être dans les bras de cet amant et m’adressant à jean :
    
    — Je suis à lui et rien qu’à lui ; je suis pleine de sa semence ; s’il le veut, tu pourras me prendre, mais ...