Le plaisir de se faire baiser - Histoires de Sexe

Le plaisir de se faire baiser

Depuis mes 15 ans je suis une traviole soumise. J'ai deux sœurs qui ont fait mon éducation. Comme nous jouions toujours ensemble, elles m'ont affublé du rôle non pas de Ken mais celui de poupée Barbie. Pour cela, elles ont fouiné dans la garde-robe de maman. De la lingerie fine et sexy à foison : guêpières de toutes les couleurs, ensembles de dessous affriolants à dentelles, bas auto-fixants ou à couture. Et très vite j'ai apprécié le contact avec la soie et le satin si bien que j'étais  en tenue de sissy chaque jour et que je me promenais dans la maison pour m'exhiber et me faire admirer. Bien sûr Caroline et Ingrid me pelotaient constamment, Caroline ayant une préférence pour mes nichons et Ingrid. Au début ces jeux étaient innocents jusqu'au jour où notre oncle Omar nous a surpris. Au lieu de s'intéresser aux filles, c'est vers moi qu'il se dirige 
"La belle petite pouf! T'as déjà goûté une belle queue ? Je veux te voir à genoux ! Tu vas me pomper le noeud ! Et tu me montres ta chatte anale car j'ai envie de te doigter le cul ! Allez exécution !"
N'ayant pas d'autre alternative, je prends la teub de ...

... mon oncle en main, la masturbe un peu avant de la decalotter. Son gros prépuce violacé se dresse et je le tête légèrement avant de le gober entièrement avec ma bouche le faisant buter contre ma glotte et de commencer un va-et-vient appuyé qui a pour effet de déclencher une explosion de foutre dans ma gueule. 
"Avale salope ! Prends tout mon jusde couilles sur ta frimousse de pute !" 
Non seulement mon oncle envoie son sperme gluant au fond de ma gorge mais il continue à se branler avec pour résultat que les restes de foutre atterrissent sur mon visage. Du jus de couilles sue les commissures de ma bouche et aussi du sperme tartinant mon visage, je lève les yeux vers mon oncle pour constater qu'il est satisfait de ma prestation. Pour autant il n'a pas oublié son envie de tester l'élasticité de mon conduit anal et ses doigts écartent l'entrée de mes reins pour en explorer la dilatation. 
"Je vais m'occuper de ton petit cul demain. Je serai là vers 18 heures et je veux te voir prête à te faire sauter, le cul propre et les couilles vides ! Interdiction pour toi d'avoir l'outrecuidance de prendre ton pied !"