Sandra et son laisser-baiser
Datte: 31/08/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Micky, Source: Hds
... comme à l'accoutumée. Elle s'affairait dans la cuisine, un tablier sur ses vêtements, lorsque Boubacar la rejoignit. Après l'avoir embrassée, il raconta sa journée et lui demanda de faire de même. Et Sandra répondit illico :
- J'ai baisé.
- Comment ça, tu as baisé ? Avec qui ?
- Avec un gars qui bosse chez nous. Tu ne le connais pas.
- Et tu me dis ça comme ça ?
- Ben, comment voulais-tu que je te le dise ? Avec des fleurs ? Tu m'as donné la permission, je l'ai prise, voilà.
- Bon. Dis-moi tout alors. Comment ça s'est passé ?
Sandra raconta le déménagement, l'attirance qu'elle provoquait depuis longtemps auprès de l'appariteur qu'elle ne nomma pas, le désir qui avait fini par naître en elle et l'occasion qui s'était présentée dans cette pièce quasi nue.
- Donne-moi des détails. Il t'a baisée comment ?
- Sur la table qui restait, moi dessus, lui debout.
- Tu l'as sucé ?
- Même pas. J'avais trop envie d'être baisée et il ne fallait pas s'attarder non plus.
- Il a une grosse bite ?
- Moins grosse que la tienne mais il sait s'en servir.
- Tu as joui ?
- Oui. J'ai joui. Et ça te dérange ?
Boubacar ne répondit pas mais ça s'agitait un peu dans sa tête. Le "laisser-baiser" accordé à son épouse avait été adopté à la lettre et plus vite que prévu.
- Et je vais te dire encore un truc : il m'a enculée.
- Quoi ! Il t'a... enculée ?
- Eh oui. Mon cul l'a inspiré, faut ...
... croire.
​
Alors, Boubacar prit Sandra par la main, l'arracha à sa tâche cuisinière au point qu'elle n'eut même pas le temps d'ôter son tablier et la tira vigoureusement vers la chambre dont il ferma la porte à clé, tandis que les enfants regardaient la télé. Le tablier vola, la robe l'accompagna, Boubacar fit basculer Sandra sur le lit, ignorant ses exclamations, tira sur le slip, baissa son pantalon, exhibant son pénis monumental, s'insinua entre les cuisses puissantes qui s'étaient ouvertes en grand, comme par réflexe en même temps qu'elle se débarrassait de son soutif et il la pénétra en travers du lit, sans préparation, jusqu'à la garde. Pour la deuxième fois de la journée, Sandra était baisée. Ce fut un coït tumultueux, bruyant d'onomatopées et de peaux claquées, toutes dents dehors, une baise sauvage, sans concession, une baise de culs en mouvement, trop intense pour durer mais aboutissant à un orgasme simultané. Sandra était en arc de cercle quand Boubacar gicla en elle. Et tel un soufflet, l'accouplement retomba sur le lit après apaisement.
- Alors ? Qu'est-ce que tu préfères ? demanda ensuite Boubacar.
- Mais tu seras toujours mon préféré, chéri, répondit une Sandra énamourée.
Mais elle ne lui dit pas que ses ébats avec l'appariteur lui avait procuré un plaisir inédit. Et que le "laisser-baiser" que lui avait accordé son mari, elle allait encore s'en servir tôt ou tard. C'était trop bon.