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Les bonnes fortunes d'Ahmed
Datte: 30/08/2025, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Clar, Source: Hds
Ahmed n’en revient pas. La semaine commence bien. En cette belle matinée automnale il vient de baiser la jolie cliente. Une sacrée femelle qui n’a pas froid aux yeux et qui est bonne comme un loukoum. Son patron n’avait pas tort. Mais là, il a été comblé…. Et ce scénario. Avec la femme qui racontait au patron à l’autre bout du téléphone ce qu’il lui faisait. Un truc de fou. Il en avait déjà baisé des clientes, mais jamais comme ça. Sûr que le patron il ne doit pas s’ennuyer avec elle. Elle aime la baise. Et comme le patron a dit qu’elle était à sa disposition le temps des travaux, il va en profiter. Ce n’est pas tous les jours fête…. Ahmed a cinquante-deux ans. Il est né là-bas, au bled, dans un petit village d’Algérie. Il avait cinq ans quand ses parents ont émigré et sont venus habiter dans ce quartier populaire de Marseille avec leurs six garçons. Ahmed était le quatrième. Dans la famille on ne faisait pas d’études. On rejoignait rapidement un apprentissage. Ahmed voulait être mécanicien. Il sera peintre. A la mort de ses parents il quitte le sud et répondant à une annonce il se retrouve à Bourges. Courageux, il fait le bonheur de son patron grâce à des connaissances en électricité et en plomberie apprises sur le tas. Malheureusement son patron divorce et noie son chagrin dans l’alcool. La boite périclite et ferme. Un de ses copains lui parle d’un copain qui a une boite d’électricité dans une ville voisine qui recherche un ouvrier polyvalent. Il se présente ainsi chez ...
... Jacques Rocier qui lui fait faire un bout d’essai. L’essai est concluant et Ahmed est embauché. Un soir, avant de partir, Ahmed sort de la douche quand il croise Rocier. Celui-ci lui fait un clin d’œil. « Dis donc, t’es monté comme un taureau toi. Les nanas doivent se régaler. » Ahmed baisse les yeux. « Tu sais patron, j’ai pas de femme et je sors pas alors je vois pas beaucoup de femmes. » Rocier lui demande « ça fait combien de temps que t’as pas baisé ? Hein ? Six mois ? Mais il faut remédier à ça. » Et c’est ainsi que Rocier s’arrangea pour présenter des femmes à son employé, choisissant parmi ses relations ou parmi ses clientes. Et les retours étaient plutôt éloquents. Rocier avait une sorte d’aventure avec son infirmière. Une sorte car leur liaison, uniquement basée sur le sexe durait depuis plusieurs mois mais il ne se voyaient que par intermittence. Clotilde (c’est le prénom de la femme en question) était seule, mariée à un époux qu’elle ne voyait presque plus, et aimait le sexe, elle avait eu l’occasion de lui prouver à maintes reprises. Et en plus, il la trouvait incroyablement perverse dès lors qu’il s’agissait de sexe. Lorsqu’elle lui avait demandé de refaire son cabinet infirmier il avait tout de suite pensé à Ahmed et décidé d’un scénario auquel elle s’était pliée avec enthousiasme. Il avait été le témoin auditif de leur joute grâce au téléphone resté allumé. (voir l’histoire « Ahmed ») Ahmed avait cinq jours de travail sur place et Rocier avait indiqué à sa ...