Person of interest
Datte: 30/08/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Maximus, Source: Hds
... sûr.
- Comment as-tu deviné que j’avais également envie de toi ?
- Tout simplement pour ton regard sur moi. Et sur mon entrejambe ! dit-il en se rapprochant de moi. J’ai rapidement compris que tu accepterais de me suivre.
Il avait vu juste. Il me fit face et me serra contre lui. Pour le coup, je savais certes envoyer une main en exploration d’un pantalon, ou palper un fessier, mais le côté câlin entre homme n’avait jamais été mis en œuvre. Je répondis à son étreinte en caressant son dos, très étonné de ressentir un réel bien-être à son contact. Un étrange sentiment de quiétude m’envahit et je comprenais instantanément que ce ne sera probablement pas un banal plan cul de plus. Puis ses mains osèrent descendre flatter mes fesses avant de sortir ma chemise de mon pantalon. L’effeuillage commençait avec délicatesse. Contrairement au mien, son torse nu était dépourvu de toute pilosité. Nos ventres plats se collèrent ; son nez se posa dans le creux de mon épaule pour “me respirer” en murmurant que j’étais beau et que s’en pouvoir se l’expiquer, il avait hâte de me découvrir entièrement nu.
Nos chaussures volèrent et nous débouclâmes nos pantalons qui finirent à même le sol. Nus à peine à quelques mètres du lit, nous étions collés l’un à l’autre sans que nos mains aient cherché le contact direct de nos sexes. Ma demi-molle contre la sienne, nous nous découvrions d’une façon pour moi encore inédite. Néanmoins, je pris l’initiative de l’asseoir sur le bord du lit, ...
... impatient de connaître plus intimement mon hôte. Mon étonnement allait à la taille de ses organes.
Bien que jeune, j’avais vu toutes sortes de sexes, au repos comme bandés à bloc. Le plus volumineux, gros et long était le dernier, un mois plus tôt. C’était un chauffeur de taxi de la Côte d’Azur qui m’avait fait visiter toute sa voiture ; monté derrière comme client, il m’invita à passer devant le temps de lui tailler une pipe d’anthologie pour finalement finir étalé sur le capot arrière afin qu’il puisse me permettre d’apprécier ses généreux 21 x 6 dans mon fondement. Connaissant le lieu où je me rendais en fin de journée, il comprit que j’allais draguer. Sûr de lui, il me demanda ce que je faisais là. Très étonné par sa question, je répondais cash :
- J’espère y trouver une grosse quéquette !
- Alors j’ai certainement ce qu’il vous faut.
Garé dans un chemin, son siège en bascule, je découvrais un gros rouleau de printemps. Il mit du temps à me remplir la gueule, mais prit cette pipe pour un amuse-gueule. À poil, allongé sur le capot de la malle arrière, il m’avait sauté avec brio. Le lendemain, il vint directement à mon hôtel me faire passer 2 heures de rêve. Un excellent amant, très bon juteur par ailleurs, dont le seul défaut était la fierté de sa teub puisque à maintes reprises, il lâchait “tu les aimes mes 21 x 6” ou “tu les sens bien mes 21 x 6”. Un très bon souvenir empreint de gros sexe et de sperme tous azimuts.
Je ne le savais donc pas encore, mais j’allais ...