1. Person of interest


    Datte: 30/08/2025, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Maximus, Source: Hds

    ... attrapa mes hanches et sa lourde queue bien à l’horizontal trouva seule mon anus encore béant.
    
    - Quel beau cul tu as ! Et grand ouvert en plus !
    
    - Il est ouvert pour toi. Ne me fais plus languir !
    
    J’étais si excité qu’à peine il commença à forcer ma porte arrière, je poussais en reculant pour m’empaler lentement. La tête dans l’oreiller, je ne pus réprimer un long cri de bonheur. Je venais de prendre la moitié de sa bite d’un seul coup et ce que ressentis était probablement très semblable à un shoot d’hallucinogène.
    
    - Oh... quelle queue ! Ouiii... Ouvre-moi !
    
    Il s’y employait, comprenant qu’il pouvait allègrement tirer mon bassin à lui pour bien m’enculer. Il gagnait sans cesse du terrain, forgeant mon rectum incandescent de son gros pilon, criant parfois autant que moi, prenant incontestablement un pied magistral à me sodomiser.
    
    Il aimait le sexe, il aimait donner du plaisir, son respect d’autrui se ressentait jusque dans ses lents et longs coups de queue d’une intensité redoutable. Il m’envoyait presque toute la longueur de sa verge, au point que ses couilles percutaient les miennes lorsque son bassin claquait bruyamment mon cul, produisant ces fameux floc-floc-floc si caractéristique. Plus il m’en donnait, plus j’en voulais, criant que c’était un Dieu, qu’il me faisait jouir en continu. J’étais en nage, parcouru de frissons, à la limite de la syncope, il me fallait calmer le jeu.
    
    Je me redressai tout en le gardant en moi. Il comprit, s’assit sur ses ...
    ... talons et je vins plaquer mon dos contre lui. Ses bras m’enserrèrent affectueusement. Immobile, il palpitait pourtant toujours juste derrière mon nombril. Il m’embrassait humidement dans le cou en susurrant d’élogieux compliments, mordillait mon lobe d’oreille. Ma tête bascula en arrière pour venir au contact de son épaule, nous étions trempés de sueur. Je caressai affectueusement sa nuque et ses cheveux, l’autre saisit ses bourses imposantes ; nos joues collées, nous étions plus qu’unis à cet instant. Nous nous aimions et contre toute attente nous faisions véritablement l’amour.
    
    - Ohhhhh Pierre... tu ressens les mêmes choses que moi ?
    
    - Oui, Max. C’est juste... incroyable.
    
    - Tu me fais tant jouir ! Je n’ai jamais connu ça.
    
    - Je ne pensais pas que ce soit possible de jouir si fort.
    
    En oscillants à peine mon bassin d’avant en arrière, notre coït reprit. Lui propulsait son bassin, ses mains parcouraient mon ventre de milles caresses, nous râlions de plaisir. Toujours accroché à son cou, je tournais la tête pour baiser sa joue, l’implorant de ne pas s’arrêter. Parfaitement emboîtés seuls nos bassins remuaient et c’était purement torride.
    
    - Je viens... Pierre... Je viens... hurlais-je entre deux baisers.
    
    - Ohhhh Max... Moi aussi !
    
    Parti du creux de mes reins, un éclair foudroya mon cerveau ; de ma gorge sortit un son inintelligible. Compulsivement, mes mains broyèrent sa nuque et ses bourses. Malgré l’intensité de mon orgasme, il était si profondément planté ...