moment de détente.
Datte: 30/08/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Renifleur, Source: Hds
... ventre, que le tissu de sa culotte pompe.
Elle murmure pourtant, un faible arrête, qu’elle accompagne d’un profond soupir. Le point de non-retour est alors atteint. D’ailleurs je la vois fermé les yeux, et je m’adonne à la caresser ainsi. Je prends même la décision, d’approcher mon visage de son sexe. Pour ne pas me corrompre, je lui demande de bien vouloir m’aider à enlever sa petite culotte. Elle hésite un instant, alors que j’ai déjà mes mains au niveau de ses hanches tenant les élastiques de ce dernier rempart à mon plaisir. Mais très vite, elle soulève, un peu ses fesses du coussin ce qui me permet de lui ôter son sous-vêtement et de mettre à jour une adorable toison, non apprivoisé, bien fournie.
Je reste un instant sous la contemplation du tableau offert. Puis je me décide de reprendre ma caresse, et cela du bout des doigts. Je me centralise sur ses lèvres accidentées. Cette caresse semble lui plaire au plus au point car ses hanches commencent à tanguer. Son ventre palpite. Cette même humidité qui l’instant d’avant se perdait dans le coton de sa petite culotte recommence à sourdre peu à peu, s’accrochant à mes doigts et formant comme des petits filets de perles à chacun de leurs passages.
Je ne peux m’interdire d’y poser la bouche. Ce qui a pour effet de la faire sursauter. Elle tente bien de me repousser, n’étant pas familiarisé avec ce genre de caresse. Mais le diabolique ballet qu’a ...
... immédiatement entreprit ma langue met fin à ses dernières résistances.. Elle se détend alors totalement sur son fauteuil et se laisse gagner par le plaisir qui peu à peu envahit ses sens.
De mon coté, c’est féerique. Toujours est-il qu’après même pas une minute de ce traitement, voilà que la demoiselle farouche d’auparavant se transforme en une femme pleine de désirs et c’est maintenant de ses deux mains qu’elle presse ma tête contre son sexe. Son ventre s’agite de soubresauts, sa respiration se fait de plus en plus pesante et de sa gorge sort maintenant un gémissement presque continu qui va en s’amplifiant.
Soudain, elle se raidit, me presse plus fortement la tête et gémit bruyamment tout en me parlant :
-Oohhhh Alain, ça vient, ça vient, ça vieeeennnnt…..Oohhhh ouiiiiiiiiiiiiiii …
C’est le dernier bruit qui sort de sa bouche avant qu’elle ne s’effondre complètement anéantie sur son fauteuil et qu’elle ne repousse ma tête de ce sexe qui maintenant est devenu trop sensible pour supporter ne serait-ce que l’effleurement d’une caresse.
Reprenant mon souffle et la regardant apprécier ce moment de calme après la tempête, j’admire cette petite larme qui brille au coin de son œil et ce sourire de béatitude qui éclaire son visage.
Quand je l’ai accompagné plus tard jusqu’à la sortie j’avais encore en bouche son arôme.
-On va ce revoir ? Me lâche-t-elle, un pied sur le trottoir.
-Et ton copain ?