Comment transformer son neveu impuissant en bête de sexe. 25
Datte: 28/08/2025,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds
... ressortir son organe. Comme tu le disais, on n’a pas de temps à perdre et je voudrais moi aussi gravir le Kilimandjaro avec Arthur comme porteur.
-Mais qu’est-ce que tu racontes Karine ?
-Ben oui, tu m’as dit que tu n’as jamais autant mouillée que sur cet escalier et on a juste le temps d’une montée et une descente.
Et sans même se dévêtir, elle saute au cou d’Arthur, ceint de ses jambes le corps du garçon qui n’en demandait pas tant.
-Prends-moi avec ta grosse queue et marche !
Arthur saisit son rostre qui repousse le string arachnéen de Karine pour rajouter un point d’appui entre les deux corps enlacés et la pénètre d’une seule poussée sans même qu’elle se rebiffe.
-On le sait que j’aime les grosses queues, s’exclame Karine, et là je suis comblée, dans les deux sens du terme. Allez, hue…
Arthur se dirige vers les escaliers et gravit les marches en la soulevant quand il pose le premier pied à chaque palier et la laisse retomber à chaque arrêt avant de recommencer pour le palier suivant.
-Oh putain ! Oh putain ! Je dérouille mais qu’est-ce que c’est bon ! Ouuuiiiieee ! Ouaouuuhh ! Sainte Marie mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheresses !
Je la vois presque défaillir quand ils atteignent le palier, Arthur prend une minute pour reprendre quelques forces. Il la repose au sol, la retourne, plie les jambes pour plonger son rostre dans la vulve entrouverte, la soulève dans ses bras et attaque la descente, accentuant encore plus le mouvement en ...
... sortant pratiquement son chibre du vagin de Karine avant de laisser la gravité faire son œuvre.
Je suis au bas des marches et ai une vue dégagée sur la formidable poutre qui apparait et disparait dans le sexe distendu de Karine, agrippée comme elle le peut à Arthur pour ne pas tomber. Je vois jaillir sa cyprine plusieurs fois, tâchant les marches, quand le piston trop à l’étroit expulse en force le liquide d’amour de Karine qui défaille tellement les orgasmes sont violents et rapprochés. Quand il arrive au rez-de chaussée, Karine n’est plus qu’une poupée de chiffon et a du mal à se tenir debout quand il la repose au sol.
-Je n’ai jamais connu ça, s’émerveille Karine, et pourtant je suis loin d’être une oie blanche.
-Il faut y aller Karine, on est en retard, je la supplie.
-Mais tu vois bien qu’il bande toujours, me rétorque-t-elle. Je ne suis jamais partie sans avoir au moins une fois vidé les couilles de mon partenaire. Viens m’aider, ça ira plus vite !
Nous nous relayons donc sur la lance d’Arthur, (ou son épée). Entre deux bouches, quatre mains dont certaines malaxent ses couilles, des doigts qui s’égarent dans son anus, notre étalon baisse pavillon, enfin en imagé car son rostre fier est toujours tendu à son maximum.
-Espèces de petites salopes, vous allez goûter à ma crème avant votre pause-café au boulot.
Je sais de quoi est capable Arthur et laisse la primeur à Karine, la bouche ouverte devant le gland violacé. Les jets se succèdent et elle doit fermer ...