1. J'aime rendre des services à qui me le demande.


    Datte: 27/08/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Renifleur, Source: Hds

    ... la chatte. J’exulte par ce que je vois.
    
    -Je n’aurais jamais cru ça de toi !
    
    J’avale péniblement ma salive. D’une bourrade, je la plaque contre la table. Je la pousse, elle se renverse en arrière, le dos appuyé sur le plateau. Je lui saisis les chevilles et lui pose les talons de chaque côté de sa croupe. je lui prends les genoux et lentement les écarte. La fourche s’ouvre, la moule se dévoile.
    
    J’admire la protubérance du mont de Vénus, les petites lèvres pincées les grandes aussi, bordées de poils follets et plus bas la naissance de la raie fessière.
    
    J’ai chaud, même très chaud. Je me penche entre ses genoux. Elle a un frémissement quand elle sent mon souffle chaud sur ses cuisses. Elle ouvre la bouche pour une plainte étouffée. Du bout du doigt j’explore sa toison, puis je le descends, remonte, fait le tour, l’insinue dans la pliure des cuisses, tripote les petites lèvres, appuie sur les pétales roses, suis la fente jusqu’en bas, remonte, redescend, rien qu’un doigt, que je glisse tout à fait en dessous maintenant puis l’enfonce.
    
    -T’aime ça, je suis sûr que ton mari ne fait pas ça.
    
    -Ça pour sûr, non !
    
    Le menu cratère anal apparaît lui aussi, avec son rebord mauve, froncé. Je tourne mon doigt autour ; le pose dessus, titille juste au milieu, le tortille sans appuyer.
    
    -Ton Thierry s’occupe de ton cul ?
    
    -Il trouve ça dégueulasse, ses mots !
    
    J’y mets toute la main. Je lui ouvre bien les fesses. Mes doigts en éventail partent de l’orifice étoilé, ...
    ... remontent le long de la raie, passent sur les grandes lèvres, les petites, redescendent et recommencent. Tantôt lentement, en effleurant à peine ses chairs offertes, tantôt plus vite ou plus fort.
    
    A chaque parcours, elle s’enflamme. Ses cuisses relevées tremblent. Je me mets à genoux, le visage face à la chair secrète de la femme. Je mets les deux mains. D’abord l’index se loge au centre de l’anus, entre les deux globes de chair. J’appuie pousse et pénètre, l’enfonce tout entier.
    
    -T’aime ça ma salope ?
    
    -Oh… oh, oooooouuuuiiiiiii !
    
    Avec mon autre main, je comprime la petite corolle, tourne dessus, empaume toute la vulve, écarte les grandes commissures, dégage l’ouverture du calice rose, bordé de mauve. Je la pénètre d’un doigt, puis deux, je les fais bouger, les font aller et venir dedans. Pendant ce tems l’autre dans son cul, s’agite à l’unisson et mon pouce, devant, agace la corolle.
    
    Elle a les deux trous emplis, asticotés. Elle aspire un peu d’air, rejette la tête en arrière, se mord la lèvre inférieure. Je la dévore du regard, m’excite davantage de la profaner.
    
    -Tu es une bonne salope, ton mari le sait ?
    
    -Non ! Lâche-t-elle en faisant bouger son ventre.
    
    Elle se mord les lèvres, serre les poings. Je la masturbe avec patience. je guette la rougeur qui descend sur ses joues, sur son cou.
    
    -Tu mouilles bien, cochonne ! T’aime la branlette !
    
    Et je la pistonne plus fort.
    
    -Salope, tu mouilles même du cul !
    
    Je sors les doigts de ses deux ouvertures. ...