1. Le retour du radis noir


    Datte: 27/08/2025, Catégories: f, fh, ff, fhh, Collègues / Travail poilu(e)s, cérébral, Oral préservati, pénétratio, double, délire, Humour Auteur: Anaclem, Source: Revebebe

    ... continuerait à lécher l’homme jusqu’à ce qu’il vienne dans sa bouche. Son sperme jaillirait, chaud et épais, elle l’avalerait. Il la relèverait et la pilonnerait jusqu’à ce que ses cris de jouissance se mêlent aux siens.
    
    Seulement, voilà, Sophie est seule dans une rue déserte, pas de porte cochère ni de bel inconnu. Elle rentre à la maison, range ses courses et surtout, met l’escalope dans le freezer car Anne lui a dit que c’était mieux lorsqu’elle était bien froide, que ça durait plus longtemps. Elle en a été étonnée, car, ne dit-on pas que pour calmer ses ardeurs rien ne vaut une douche froide ? Mais Sophie lui fait confiance et suit ses conseils à la lettre.
    
    Petite douche de nouveau et sieste pour être en forme ce soir. Son appartement est vaste et clair, il donne sur une petite rue peu passante. Sa sieste est bercée par le chant des oiseaux, elle est chaude comme la braise mais ne se touche pas.
    
    Vers 18 heures, Sophie se réveille en forme et tout aussi excitée que lorsqu’elle s’est couchée. Petit rafraîchissement, elle choisit une robe bleue à fleurs, fendue sur les côtés et bien échancrée sur le devant. Petites chaussures à talon mais dans lesquelles elle est à l’aise.
    
    Puis vient le moment fatidique tant attendu, Sophie va chercher l’escalope et la met dans sa culotte. Froideur, impression désagréable d’avoir un truc entre les jambes. Elle prend son sac, l’adresse, et la voilà partie. Le souvenir de la Vania de ses quinze ans ressurgit.
    
    Elle prend le ...
    ... métro, ligne deux, change pour la station Chevaleret ; arrivée à destination, Sophie sent que l’escalope se réchauffe. De l’eau coule entre ses cuisses. Une douce chaleur l’envahit et elle lui frotte délicatement son entrejambe à chacun de ses pas.
    
    Arrivée en bas de l’immeuble, elle regarde la tour qui se dresse sous ses yeux, Paul est au 24e étage. Elle fait le code, rentre et cherche son nom sur l’interphone. Un homme arrive en courant, pénètre avec elle dans le hall de l’immeuble. Il la laisse sonner et sourit, amusé de voir qu’ils vont au même endroit. Une fois dans l’ascenseur, les présentations sont faites. Il est italien, se prénomme Gianni et vit à Paris depuis trois ans. Grand, brun, il a des yeux noirs dans lesquels Sophie se perdrait volontiers vu son état d’excitation.
    
    Arrivée devant la porte de l’appartement, Paul est tout étonné de les trouver tous les deux. Gianni passait en fait à l’improviste, il restera donc pour le dîner. Marie est déjà là, sublime dans sa petite robe noire, fines bretelles dénudant ses épaules et mettant en valeur sa poitrine plus que généreuse.
    
    L’escalope se fait tendre et chaude entre ses jambes. Ils prennent tous les quatre place dans le salon. Le frottement de ses jambes l’une contre l’autre ne fait qu’accentuer le doux mouvement de la chair contre sa chair. La présence de Gianni leur permettra sans doute de parler d’autre chose que du travail et rendra sans doute ce dîner plus agréable. D’un regard, Sophie comprend qu’Anne pense ...